Dusang contaminĂ© peut ĂȘtre restĂ© sur le matĂ©riel et le VIH peut alors entrer dans l’organisme. Partage ou rĂ©utilisation de la paille de « sniff » ou de la pipe Ă  crack Le risque d’ĂȘtre contaminĂ©(e) par le VIH est possible en prĂ©sence de plaies (dans le nez ou sur les lĂšvres) ou de sang sur le matĂ©riel. Si l’on partage ou rĂ©utilise ces matĂ©riels, le risque d’ĂȘtre
Article PubliĂ©e le 27/07/2020 Information proposĂ©e par Service Public d’Information en SantĂ© Quels sont les diffĂ©rents types de plaies ? Une plaie est une effraction plus ou moins profonde de la peau. Il en existe de trĂšs nombreuses formes. Une excoriation cutanĂ©e ou Ă©gratignure touche seulement les couches superficielles de la peau. Les bords de la plaie sont alors souvent irrĂ©guliers, le saignement de faible abondance et de courte durĂ©e. Une excoriation Ă©tendue peut toutefois provoquer une douleur ressemblant Ă  une brĂ»lure. En gĂ©nĂ©ral, les soins locaux suffisent pour ce genre de petit bobo. Les plaies plus profondes ou entailles ont des bords, appelĂ©s aussi berges, dĂ©coupĂ©s plus nettement. Les saignements sont parfois importants et la plaie souvent douloureuse. Les berges doivent, dans certains cas, ĂȘtre rapprochĂ©es l’une de l’autre suture ou colle biologique par un mĂ©decin, afin d’éviter une cicatrice inesthĂ©tique. Une plaie peut donner lieu Ă  d’importants saignements, notamment sur le cuir chevelu parfois spectaculaire, au visage et aux mains. Ces saignements peuvent ĂȘtre d’origine veineuse, artĂ©rielle ou mixte. Les saignements veineux sont gĂ©nĂ©ralement rĂ©guliers, en nappes. Les saignements artĂ©riels, plus rares, se caractĂ©risent au contraire par une trĂšs forte pression et un dĂ©bit pulsatile le sang sort par Ă -coups et parfois en jet, au rythme du pouls. Ils peuvent provoquer des hĂ©morragies importantes. Quelles sont les complications Ă©ventuelles des plaies ? Une plaie ou une excoriation peut ĂȘtre suivie de complications infectieuses. L’infection se manifeste par une rougeur, une douleur et la prĂ©sence Ă©ventuelle de pus. Elle est plus grave lorsqu’elle touche une articulation ou qu’elle s’accompagne d’autres signes ganglions douloureux, fiĂšvre. Toute plaie est susceptible de se compliquer de tĂ©tanos chez une personne non vaccinĂ©e. Les plaies peuvent aussi entraĂźner des problĂšmes moteurs en cas de lĂ©sions nerveuses, tendineuses ou articulaires nĂ©gligĂ©es. Une plaie de la main, mĂȘme d’aspect bĂ©nin, doit ainsi faire l’objet d’un examen mĂ©dical minutieux. Que faire en cas de plaie ? Si la blessure saigne par jet ou en nappes abondantes, comprimez la plaie avec une compresse stĂ©rile, ou Ă  dĂ©faut avec un linge propre, de prĂ©fĂ©rence repassĂ© au fer. Ne faites pas de garrot. Attendez dix minutes et levez la compression doucement. Si la plaie saigne Ă  nouveau, consultez un mĂ©decin. En cas d’hĂ©morragie persistante, pratiquez une compression manuelle que vous relĂąchez de temps en temps en attendant les secours. N’appliquez rien sur une plaie autre qu’un antiseptique incolore ou de l’eau si elle comporte des berges Ă©loignĂ©es nĂ©cessitant d’ĂȘtre rapprochĂ©e par suture ou colle biologique. Si la blessure ne prĂ©sente pas un caractĂšre grave, nettoyez-la Ă  l’eau courante tiĂšde avec du savon. Enlevez les souillures Ă©ventuelles avec une pincette propre. Ne dĂ©sinfectez la plaie qu’aprĂšs l’avoir nettoyĂ©e Ă  l’eau et au savon et rincĂ©e soigneusement. Dans la mesure du possible, n’appliquez ni sparadrap ni pansement et laissez la plaie Ă  l’air libre. Si la plaie est une coupure peu profonde, vous pouvez poser des bandelettes adhĂ©sives aprĂšs l’avoir nettoyĂ©e, dĂ©sinfectĂ©e et bien sĂ©chĂ©e. Elles doivent ĂȘtre posĂ©es rapidement moins de 6 heures aprĂšs le moment oĂč la plaie s’est formĂ©e. Pour bien rapprocher les bords de la plaie, placez la premiĂšre bandelette au centre Ă  la coupure, perpendiculairement, en maintenant ses bords rapprochĂ©s. Posez ensuite les autres bandelettes en les sĂ©parant de quelques millimĂštres. Finissez en posant deux bandelettes de part et d’autre de la coupure, parallĂšles Ă  elle et collĂ©es sur les prĂ©cĂ©dentes. Les bandelettes doivent ĂȘtre retirĂ©es aprĂšs une semaine en les humidifiant. VĂ©rifiez que vous ĂȘtes Ă  jour de vos vaccinations contre le tĂ©tanos rappel tous les vingt ans Ă  l’ñge adulte. Quand consulter en cas de plaie ? Appelez votre mĂ©decin traitant immĂ©diatement, ou rendez-vous au service d’urgence le plus proche si la plaie provoque un saignement qui semble abondant ou pulsatile. s'il s'agit d'une morsure. si elle est profonde et bĂ©ante, ou au contraire petite mais provoquĂ©e par un objet pointu couteau, clou, etc.. si la plaie touche l'Ɠil ou la main, quelle que soit sa profondeur. si le blessĂ© prĂ©sente une pĂąleur du visage, des sueurs, une soif importante, des vertiges ou des petits malaises. Consultez un mĂ©decin dans la journĂ©e si la plaie est trĂšs souillĂ©e. si la plaie se situe sur le visage, le cou, la tĂȘte ou entraĂźne une gĂȘne pour mobiliser une articulation voisine. si elle n'arrĂȘte pas de saigner faiblement. si la personne a Ă©tĂ© vaccinĂ©e contre le tĂ©tanos depuis plus de vingt ans ou s'il existe un doute sur cette vaccination. si la personne est diabĂ©tique ou immunodĂ©primĂ©e risque d'infection augmentĂ©. si la plaie prĂ©sente des signes d'infection rougeur, chaleur, douleur. si la plaie ne cicatrise pas au bout de deux semaines. Comment soigner une plaie ? L’utilisation d’un antiseptique local ne doit pas faire nĂ©gliger la premiĂšre Ă©tape indispensable au soin d’une plaie le nettoyage. Un simple lavage soigneux Ă  l’eau tiĂšde et au savon permet d’éliminer la majoritĂ© des germes. Cette Ă©tape doit ĂȘtre suivie d’un rinçage tout aussi soigneux car certains antiseptiques peuvent ĂȘtre inactivĂ©s par la prĂ©sence de savon. Les antiseptiques les plus couramment utilisĂ©s sont les biguanides chlorhexidine et hexamidine, ainsi que les dĂ©rivĂ©s du chlore et de l’iode. L’association de plusieurs antiseptiques doit toujours ĂȘtre Ă©vitĂ©e. Elle risque d’annuler leurs effets ou, dans certains cas, elle peut entraĂźner la formation de produits irritants. Il faut toujours prĂ©fĂ©rer les formes unidoses ou les petits flacons une fois ouverts, les antiseptiques peuvent, paradoxalement, ĂȘtre contaminĂ©s. Il est important de respecter les modes d’emploi pur ou diluĂ©, rinçage, date de pĂ©remption, etc.. Le pansement protecteur doit ĂȘtre changĂ© tous les jours pendant deux Ă  trois jours, puis tous les deux jours. À chaque renouvellement de pansement, mieux vaut la nettoyer doucement avec de l'eau ou du solutĂ© physiologique. En cas de saignement chez les personnes sans troubles connus de la coagulation, la compression de la plaie pendant quelques minutes est souvent suffisante. Le Service Public d’Information en SantĂ©, au sein du MinistĂšre des solidaritĂ©s et de la santĂ©, associe les institutions et agences publiques missionnĂ©es dans les champs de la santĂ©, ainsi que les partenaires privĂ©s Ă  but non lucratif associations, ordres professionnels, sociĂ©tĂ©s savantes, universitĂ©s
. La dĂ©marche vise Ă  assurer la cohĂ©rence et la cohĂ©sion des actions autour d’une vision commune de l’information publique en santĂ© prĂ©voyant Ă©galement l’élaboration d’outils favorisant l’implication des usagers au processus d’amĂ©lioration du systĂšme de santĂ©. Service Public d’Information en SantĂ© Le contenu proposĂ© vous a-t-il Ă©tĂ© utile ?
Eneffet mettre le prĂ©servatif est une chose mais Ă  partir du moment oĂč les sĂ©crĂ©tions gĂ©nitales et le sang sont vecteurs du virus, il reste une panoplie impressionante de façon de l'attraper. En effet qu'en est-il des relations orale/gĂ©nitale sans protection (ce Ă  quoi on peut opposer le prĂ©servatif pour la fellation mais pas dans le sens inverse :/). SantĂ©Sida et prĂ©vention14 rĂ©ponses /Dernier post 01/02/2008 Ă  2025Llil95yo01/02/2008 Ă  1909Bonsoir,Voila, je viens d'aller chez le coiffeur et elle m'a fait une ptite plaie sur le visage avec le couteau rasoir.Si on considĂšre que la personne qui est passĂ© avant moi dans la seconde soit seropositif et qu'il ai egalement saignĂ© et que du sang soit restĂ© sur ce couteau rasoir, est ce qu'il y a un risque de contamination du VIH ?merci Your browser cannot play this video. Llil95yo01/02/2008 Ă  1925excusez moi d'insister, mais est ce que quelqu'un pourrait me repondre ?merci Ggib71jo01/02/2008 Ă  1950Aucun risque sur des outlis d'hygiene brosse Ă  dents,rasoirs etc.Llil95yo01/02/2008 Ă  1944merci gibon64, mais tu en es sur ? parceke en regardant un peu sur internet, ils laissent planer le doute...Ggib71jo01/02/2008 Ă  19 sang est prĂ©sent en trop petite de contamination par la peau via ce moyen risque est strictement continuez en dessousLlil95yo01/02/2008 Ă  1956merci gibon ! j'espere ke certaines personnes sur ce forum confirmeront tes dires !Ggib71jo01/02/2008 Ă  1957Je te rappelle d'ailleurs qu'Ă  l'air libre le virus ne survit si le rasoir contenait du sang contaminĂ©,le risque n'existerait Ă  2008mais le sang est dans le virus, comment le virus ne peut t'il pas survivre a ce moment la ? si le sang est frais non sec ?PublicitĂ©, continuez en dessousGgib71jo01/02/2008 Ă  2011Du sang Ă  l'air libre?Qui plus est en contact avec ta peau?Faut 4 Ă  5cl de sang pour qu'un risque minime existe.... sur une lame de rasoir on va avoir du mal....risque inexistant...Llil95yo01/02/2008 Ă  2015oui mais la on imagine ke j'ai egalement une plaie, comme la personne ki est passĂ© avant moi. donc plaie contre plaie...Vous ne trouvez pas de rĂ©ponse ?Ggib71jo01/02/2008 Ă  2018Le risque n'existe contact de la peau,c'est seulement en milieu professionnel que de tres rares cas sont quantitĂ©s de sang etant plus recense par contre de rare cas de VHC vi ce mode de continuez en dessousLlil95yo01/02/2008 Ă  2019en milieu professionnel ? a l'hosto ?c'est koi VHC ?merci, mais je comprends pas pourquoi tu parles de "contact de la peau" ?? , c'est plaie contre plaieGgib71jo01/02/2008 Ă  2032ta plaie elle n'est pas sur ta peau???vhc= hepatite pro= clinique,hosto....Llil95yo01/02/2008 Ă  2025merci gibon pour tes infos !PublicitĂ©, continuez en dessous Mesurespermettant d’amĂ©liorer l’hygiĂšne des mains : Faire de l’hygiĂšne des mains une prioritĂ© institutionnelle ; Placer des distributeurs de SHA Ă  l’entrĂ©e de la chambre ou Ă  proximitĂ© du lit ; Fournir des flacons de poche de SHA au personnel soignant ; Autres mesures de prĂ©vention de la transmission des microorganismes :
SecuPressVous n’ĂȘtes pas autorisĂ© Ă  accĂ©der Ă  lĂ  page enregistrĂ©s Votre IP 29 August 2022 2257Raison Mauvaise GĂ©olocalisationSupport ID
Faitestremper un morceau de gaze dans une solution saline ou un produit désinfectant recommandé par votre médecin. Appliquez-le doucement sur la plaie en tapotant. Si du sang
Accueil » Maladies nosocomiales » SARM staphylocoque dorĂ© SymptĂŽmes et traitement aprĂšs une infection Dans un prĂ©cĂ©dent article, nous avions prĂ©sentĂ© ce que sont les SARM staphylocoque aureus rĂ©sistant Ă  la mĂ©ticilline, aussi appelĂ©s staphylocoques dorĂ©s. Nous vous avions aussi parlĂ© des prĂ©cautions Ă  respecter pour Ă©viter d’ĂȘtre infectĂ© par ce microbe lors d’un sĂ©jour Ă  l’hĂŽpital. Car cette bactĂ©rie inoffensive lorsqu’elle reste sur la peau, peut causer des infections graves lorsqu’elle rentre dans le corps en passant bien souvent par une plaie ouverte ou une coupure de la peau. Si un staphylococcus aureus pĂ©nĂštre dans l’organisme via une brĂšche de l’épiderme, il peut causer diffĂ©rents types d’infections. Dans la plupart des cas, il va s’agir d’une infection des tissus de l’épiderme autour de la plaie une peau rouge, une tumĂ©faction et une inflammation au pourtour de la plaie. L’infection peut aussi prendre la forme de furoncles, kyste ou autre abcĂšs. La prĂ©sence de pus et d’une ultra-sensibilitĂ© au toucher sont des symptĂŽmes renforçant le diagnostic d’une contamination par le staphylocoque dorĂ©. Le SARM peut Ă©galement ĂȘtre la cause d’autres types d’infections infection urinaire si la bactĂ©rie entre dans le systĂšme urinaire, cela est possible. septicĂ©mie dans le cas oĂč le SARM entre dans le sang, cela crĂ©era un empoisonnement du sang, c’est une infection grave. pneumonie une atteinte et une infection du systĂšme respiratoire est envisageable si le microbe n’est pas stoppĂ© Ă  temps
. 
 toutes les parties du corps peuvent potentiellement ĂȘtre infectĂ©es coeur, moelle
. Dans les cas les plus graves, la vie du patient peut-ĂȘtre en danger. Comme diagnostiquer la prĂ©sence de staphylocoque dorĂ© ? Le test de prĂ©sence du SARM se rĂ©alise au moyen d’une prise de sang ou d’un prĂ©lĂšvement sur la zone infectĂ©e. Si la bactĂ©rie est prĂ©sente, des tests complĂ©mentaires sont effectuĂ©s pour identifier les antibiotiques efficaces et prodiguer un traitement. A noter que la dĂ©couverte de staphylococcus aureus sur la peau ou dans le nez d’un patient de signifie pas qu’il est infectĂ©, il est simplement “porteur” et cela n’est en aucun cas dangereux. Il doit juste faire attention Ă  ne pas le transmettre Ă  une personne susceptible de se faire infecter systĂšme immunitaire plus faible, prĂ©sence d’une blessure ouverte
. Dans la plupart des cas, si le microbe est dĂ©couvert sur l’épiderme, une crĂšme antibiotique sera prescrite afin d’éliminer le germe et Ă©viter toute transmission. Staphylocoque dorĂ© quel traitement ? Comme son nom l’indique, l’une des caractĂ©ristiques du SARM –staphylocoque aureus rĂ©sistant Ă  la mĂ©ticilline-, est qu’il a dĂ©veloppĂ© une rĂ©sistance Ă  la mĂ©ticilline, antibiotique normalement utilisĂ© pour soigner toutes sortes d’infections. Il est donc plus difficile Ă  Ă©liminer mais, heureusement il reste vulnĂ©rable Ă  d’autres types d’antibiotiques vancomycine ou linĂ©zolide. L’antibiotique est souvent injectĂ© en intraveineuse et le traitement peut parfois durer plusieurs semaines, pĂ©riode durant laquelle il est prĂ©fĂ©rable d’ĂȘtre en surveillance Ă  l’hĂŽpital pour Ă©viter que l’infection ne s’étende Ă  d’autres parties du corps. En conclusion, mĂȘme si cette bactĂ©rie peut-ĂȘtre responsable d’infections graves et parfois mettre la vie du patient en danger, sa transmission est limitĂ©e si des rĂšgles d’hygiĂšne strictes sont respectĂ©es lors du sĂ©jour Ă  l’hĂŽpital. Le lavage de mains est Ă©lĂ©mentaire et le personnel mĂ©dical doit porter des gants lorsqu’il manipule du matĂ©riel ayant Ă©tĂ© en contact avec des patients infectĂ©s, cela pour ne pas contaminer les autres chambres qu’il visite. 6 Comments on SARM staphylocoque dorĂ© SymptĂŽmes et traitement aprĂšs une infection Copyright © Tous droіts rĂ©servĂ©s - Toute reproductіon est іnterdіte sous peіne de poursuіtes. Laliment ou la matiĂšre premiĂšre sont contaminĂ©s en amont chez le fournisseur : du jambon contaminĂ© Ă  la listĂ©ria utilisĂ© pour faire un sandwich. La contamination directe. Le rĂ©servoir Si les dangers liĂ©s au VIH Virus de l’ImmunodĂ©ficience Humaine sont relativement bien connus, avec le risque de dĂ©velopper le sida syndrome de l’immunodĂ©ficience acquise, la façon dont le virus se transmet est parfois encore mĂ©connue. Pour certains, le niveau d'information sur les risques de contamination au VIH est mĂȘme prĂ©occupante. Voici quelques rappels sur ce virus et sur la façon dont il se transmet, avec l'appui du guide pĂ©dagogique "Risky or not risky" de SIDA' la main d'un sĂ©ropositif est risquĂ©, c'est faux ! La peau n’est pas une porte d’entrĂ©e pour le VIH. De plus, il n’y a pas de liquide contaminant impliquĂ© lors de contacts de peau Ă  peau. Tenir la main de quelqu'un porteur du virus ou avoir des contacts de peau Ă  peau comme Ă©changer des massages, danser ou se masturber ne prĂ©sente aucun VIH peut se transmettre par la salive, c'est faux ! Embrasser quelqu’un, mĂȘme trĂšs passionnĂ©ment et avec la langue, n’amĂšne pas de risques de contamination. La salive n’est pas un des 5 liquides pouvant transmettre le VIH. On peut donc aussi boire dans le mĂȘme verre qu’une personne vivant avec le VIH/ transpiration est un vecteur de transmission du VIH, c'est faux ! La transpiration ne prĂ©sente aucun risque de contamination. Pratiquer un sport, mĂȘme de contacts avec une personne sĂ©ropositive ne reprĂ©sente donc aucun pilule contraceptive d’urgence peut empĂȘcher la transmission du virus, c'est faux ! La pilule est un moyen de contraception, elle ne protĂšge en aucun cas des IST et du VIH/ faut ĂȘtre prudent lors de l'Ă©change de brosses Ă  dents ou de rasoirs, c’est vrai ! Le brossage de dents ou le rasage peuvent causer des microlĂ©sions Ă  la bouche et laisser des traces de sang sur l’ustensile. Il vaut donc mieux ĂȘtre prudent. Toutefois, le VIH/SIDA survit moins de quelques minutes Ă  l’air libre. Il faudrait donc que deux personnes utilisent le mĂȘme rasoir ou la mĂȘme brosse Ă  dent dans un trĂšs court dĂ©lai et que les deux personnes aient des plaies ouvertes porte d’entrĂ©e pour le VIH dans la bouche ou l’endroit rasĂ© pour qu’il y ait une contamination. Il est Ă©galement conseillĂ© de ne pas se brosser les dents avant ou aprĂšs un rapport oro-gĂ©nital, car on crĂ©e des portes d’entrĂ©e au VIH au niveau des faire un piercing ou un tatouage est risquĂ©, c'est faux ! si les conditions d'hygiĂšne sont respectĂ©esRĂ©alisĂ© par une personne professionnelle qui utilise des instruments rĂ©pondant aux normes de sĂ©curitĂ© et d’hygiĂšne, instruments stĂ©riles et Ă  usage unique, un piercing n’implique pas de risque d’exposition au VIH/SIDA. Le matĂ©riel pour piercings est depuis plusieurs annĂ©es Ă  usage unique en Belgique. RĂ©alisĂ© de maniĂšre professionnelle avec des instruments rĂ©pondant aux normes de sĂ©curitĂ© et d’hygiĂšne instruments stĂ©riles, un tatouage n’implique pas non plus de risque d’exposition au VIH/SIDA. Le matĂ©riel pour tatouage est depuis plusieurs annĂ©es, lui aussi, Ă  usage piqĂ»re de moustique peut vous contaminer, c'est faux ! Le moustique ne transmet pas le VIH. Le VIH ne se transmet que d’ĂȘtre humain Ă  ĂȘtre humain. MĂȘme s’il pique une personne contaminĂ©e par le VIH, la quantitĂ© de sang est trop infime pour qu’il y ait un risque de contamination. De plus, le moustique suce le sang mais ne le rĂ©injecte pas ensuite dans la prochaine personne qu’il le cunnilingus prĂ©sente un risque, c'est faux !Il n'y a quasiment aucun risque pour le cunnilingus. Le virus ne survit pas Ă  l'air et ce contact n'est pas assez pĂ©nĂ©trant. GĂ©nĂ©ralement, il n'y a pas de risque exceptĂ© en prĂ©sence de sang rĂšgles, blessures, etc.. Recevoir une fellation est risquĂ©, c'est faux !Il n’y a pas de risque VIH quand on se fait faire une une fellation est risquĂ©, c'est vrai ! mais le risque est peu courantLors des rapports oro-gĂ©nitaux, plusieurs liquides peuvent entrer en contact avec la muqueuse buccale. Ex le liquide prĂ©-Ă©jaculatoire et le sperme sont en contact avec la bouche. Pour se protĂ©ger d’une Ă©ventuelle transmission du VIH lors d’une fellation, il faut utiliser un prĂ©servatif. Le risque de transmission est augmentĂ© en cas de problĂšmes buccaux chez celui/celle qui pratique la fellation gingivite, angine, candidose, plaie ouverte et rĂ©cente comme des soins dentaires
La transfusion sanguine prĂ©sente un risque de contamination, c’est faux ! en Belgique en tout casAujourd’hui, le sang est testĂ© par les laboratoires. Il n’est donc plus possible en Belgique de recevoir du sang contaminĂ© par le VIH/SIDA ou encore par l’HĂ©patite B et sodomie est une pratique sexuelle Ă  risque, c’est vrai ! L’anus est une muqueuse trĂšs sensible et qui n’est pas lubrifiĂ©e naturellement, ce qui peut crĂ©er des micro-fissures et saignements lors d’une pĂ©nĂ©tration. Pour Ă©viter ces situations on peut utiliser un lubrifiant, uniquement Ă  base d’eau avec un prĂ©servatif. Les micro-fissures sont des plaies ouvertes et constituent donc des portes d’entrĂ©e pour les liquides contaminants, il faut donc se protĂ©ger Ă  l’aide d’un prĂ©servatif. Les prĂ©servatifs internes sont plus rĂ©sistants et adaptĂ©s pour les pĂ©nĂ©trations de sextoys prĂ©sente un risque de contamination, c'est vrai ! Lors d’échange de "sextoys", certains liquides contaminants peuvent ĂȘtre prĂ©sent et rester sur le sextoy et ensuite ĂȘtre en contact avec une muqueuse. Afin d’ĂȘtre sĂ»r d’éviter la transmission du VIH, il faut utiliser un prĂ©servatif avec les "frĂšre de sang" est potentiellement dangereux, c'est vrai ! Le fait de frotter deux plaies ouvertes et de se partager du sang constitue une situation trĂšs risquĂ©e !Les toilettes publiques reprĂ©sentent un danger, c’est faux ! Partager des toilettes avec une personne sĂ©ropositive ou utiliser des toilettes publiques ne reprĂ©sente aucun risque de contamination au de la drogue en groupe est risquĂ©, c'est vrai !Lors d’un sniff de drogue, des "microlĂ©sions" se crĂ©ent dans la muqueuse nasale. Ces "microlĂ©sions" peuvent entraĂźner des saignements. DĂšs lors, si plusieurs personnes partagent la mĂȘme paille de sniff, le sang contaminĂ© d’une personne peut ĂȘtre en contact avec les muqueuses nasales d'une autre personne et donc l’ personne porteuse de virus peut ne plus transmettre, c'est vrai !Lorsqu’une personne sĂ©ropositive suit un traitement, le suit correctement respects des doses, rĂ©gularitĂ© des prises, avec ou sans repas
 et fait des bilans rĂ©guliers, sa charge virale devient indĂ©tectable lors de la prise de sang. DĂšs lors, le risque qu’elle transmette le virus du VIH par voie sexuelle est supprimĂ©, quelles que soient les pratiques rapports vaginaux, anaux, oraux. Attention, mĂȘme si on ne dĂ©tecte plus la prĂ©sence du virus, la personne n'est pas dĂ©finitivement guĂ©rie. On ne guĂ©rit pas encore du SIDA mĂȘme si les trithĂ©rapies permettent aux patients de mener une vie normale avec des traitements allĂ©gĂ©s. Elles permettent mĂȘme d'avoir une vie sexuelle normale sans risque de contaminer son partenaire. Et mĂȘme d'avoir des enfants qui ne seront pas porteur du sexuels Ă  risque, un calculateur de risques est disponible en ligneLe site propose aussi un test en ligne si vous pensez que vous avez eu des rapports sexuels Ă  risque. Attention, comme rappelĂ© sur la plateforme, ce calculateur donne une estimation des risques selon les connaissances actuelles. Il ne remplace donc pas un dĂ©pistage et ne fait pas de diagnostic. Pensez dĂ©pistage !En cas de prise de risque, le dĂ©pistage est indispensable. Il existe maintenant des auto-tests vendus en pharmacie et dĂ©livrĂ©s sans prescription mĂ©dicale. Si ces auto-tests sont un outil supplĂ©mentaire de dĂ©pistage du VIH, le diagnostic de l'infection par le virus responsable du sida doit ensuite ĂȘtre confirmĂ© par un mĂ©decin ou un centre de dĂ©pistage. Un dĂ©pistage qui est gratuit dans certains centres. PARTAGERSur le mĂȘme sujetArticles recommandĂ©s pour vous MĂȘmes’il pique une personne contaminĂ©e par le VIH, la quantitĂ© de sang est trop infime pour qu’il y ait un risque de contamination. De plus, le moustique suce le sang mais ne le ConnaĂźtre les diffĂ©rents types de plaie Une plaie est une dĂ©chirure de la chair, plus ou moins profonde. Elle est causĂ©e par un contact avec un objet tranchant, par une morsure ou par un choc avec une surface dure, lors d’une chute par exemple. Pour les brĂ»lures, il y a une conduite Ă  tenir spĂ©cifique. On distingue plusieurs types de plaies. - Une excoriation cutanĂ©e ou Ă©gratignure, touche les couches superficielles de la peau. Les bords de la plaie sont irrĂ©guliers. Le saignement et de faible abondance et de courte durĂ©e et la plaie entraĂźne une douleur similaire Ă  celle provoquĂ©e par une brĂ»lure. - Une plaie profonde, ou entaille, a des bords dĂ©coupĂ©s plus nettement. Les saignements peuvent ĂȘtre importants, et dĂ©pendent de la localisation de la blessure ainsi que de sa profondeur. Lorsque la blessure est profonde, elle peut dĂ©passer les tissus sous-cutanĂ©s et toucher les tendons, les muscles, les ligaments, les nerfs ou mĂȘme l’os, notamment au niveau des doigts et des mains. Les saignements sont importants, voire impressionnants lors d’une plaie sur le cuir chevelu. Une blessure au visage ou aux mains peut aussi entraĂźner un saignement important. SAIGNEMENT. Lorsque le sang gicle ou coule de façon continue de la plaie, une pression doit ĂȘtre exercĂ©e directement sur celle-ci afin d'arrĂȘter le saignement. Retrouvez les Ă©tapes d’intervention sur le site de la croix-rouge. Complications en cas de plaie Une plaie peut donner lieu Ă  des complications infectieuses qui se manifestent par des rougeurs, des douleurs Ă  la pression ou une douleur pulsante avec une sensation de battement, une peau plus chaude et Ă©ventuellement l’apparition de pus. L’infection entraĂźne des complications dĂšs lors qu’elle touche une articulation, ou qu’elle s’accompagne de fiĂšvre ou de ganglions. Il est Ă©galement recommandĂ© de vĂ©rifier si les vaccins anti-tĂ©taniques sont Ă  jour, pour prĂ©venir l’apparition du tĂ©tanos. Une plaie profonde touchant les nerfs, tendons ou articulations est susceptible d’entraĂźner des problĂšmes moteur en cas de lĂ©sion. Traitement des plaies mineures Les Ă©raflures, Ă©corchures ainsi que les coupures cutanĂ©es peu profondes et peu Ă©tendues peuvent ĂȘtre traitĂ©es Ă  domicile aprĂšs s'ĂȘtre dĂ©sinfectĂ© les mains. Pour nettoyer la plaie passer la plaie sous un filet d’eau Ă  tempĂ©rature ambiante ou avec du sĂ©rum physiologique. Les corps Ă©trangers gravillons, brins d’herbe peuvent ĂȘtre retirĂ©s avec une pince Ă  Ă©piler dĂ©sinfectĂ©e. Pour dĂ©sinfecter la plaie nettoyer de l’intĂ©rieur vers l’extĂ©rieur, avec une compresse et un antiseptique. Si la plaie est suintante, appliquer de l’éosine aqueuse pour l’assĂ©cher. Enfin, pour protĂ©ger la plaie selon le type de plaie, il est possible de la laisser Ă  l’air libre, ou au contraire de la recouvrir d’un pansement adhĂ©sif. Dans le cas d’une coupure peu profonde et peu Ă©tendue, poser des bandelettes adhĂ©sives dans les six heures qui suivent la blessure en vue d’une bonne cicatrisation. Consultation et prise en charge mĂ©dicale Il est nĂ©cessaire de consulter un mĂ©decin dans certains cas saignement abondant ou pulsatile, troubles de la coagulation, plaie profonde ou au contraire petite mais provoquĂ©e par un objet pointu, plaie qui touche l’Ɠil ou la main, la tĂȘte ou gĂȘne dans la mobilitĂ© d’une articulation, prĂ©sence de vertiges, pĂąleur, sueurs et signes de malaise. La consultation d’un mĂ©decin dans la journĂ©e est recommandĂ©e si la plaie est trĂšs souillĂ©e ou s’il s’agit d’une morsure. Elle est Ă©galement nĂ©cessaire en cas de doute sur la vaccination contre le tĂ©tanos. PoIvex. 169 113 191 271 263 84 25 8 213

toucher du sang contaminé sur une plaie