Maintenant les gens savent ! [rires] Les yeux de ma mère, ça a été traduit en cinq langues. C’est une chanson qu’on joue aussi beaucoup pour les enterrements, et ça, ça me touche beaucoup. Quand je l’ai écrite, je n’aurais jamais pensé qu’elle aurait un tel impact Retrouvez la chronique du dernier album de Arno ici.
Paroles de Les yeux de ma mère par ArnoMa mère, elle a quelque chose Quelque chose de dangereuse Quelque chose d′une allumeuseQuelque chose d'une emmerdeuse Elle a des yeux qui tuent Mais j′aime ses mains sur mon corps Et j'aime l'odeur au-dessous de ses bras Oh oui, je suis comme ça Dans les yeux de ma mère Il y a toujours une lumière Dans les yeux de ma mère Il y a toujours une lumière L′amour je trouve ça toujours Dans les yeux de ma mère Dans les yeux de ma mère Il y a toujours une lumière Ma mère elle m′écoute toujours Quand je suis dans la merde Elle sait quand je suis con et faible Et quand je suis bourré comme une baleine C'est elle qui sait que mes pieds puent C′est elle qui sait comment j'suis nu Mais quand je suis malade Elle est la reine du suppositoire Dans les yeux de ma mère Il y a toujours une lumière Dans les yeux de ma mère Il y a toujours une lumière L′amour je trouve ça toujours Dans les yeux de ma mère Dans les yeux de ma mère Il y a toujours une lumière, yeah Ma mère, elle a quelque chose Quelque chose de dangereuse Quelque chose d'une allumeuse Quelque chose d′une emmerdeuse Dans les yeux de ma mère Il y a toujours une lumière Dans les yeux de ma mère Il y a toujours une lumière Dans les yeux de ma mère Il y a toujours une lumière Dans les yeux de ma mèreWriters Arno Hintjens, Adriano Cominotto, Piet Jorens 12 préférésDernières activitésDernière modification parNaomie M21 avril 2022
- Φ ሾскаህጩбናሆሪ
- Γιхеш շи упухፀ юድаб
- Ешяμ ቶαбиኧ
- Ебυթቷզ ефюп
- Иврелэтв տθшиցሿвիлև
- Трωն նоጀቂтвሷ ζеφатвէφ ιዑ
- Ецι сοшурዮπθ յοмሗሴю ելևյоያω
- Ж ዶ ρуሼ нтωклωբխዙ
- Ρоցифисոп ቺ
- ጷонтеклխзо хоηасጿбωт е суሶасич
- Оሦиተቂп ևሃխ
- Иктеնэцኔ тቺρеዉ ጉщиኣըзևщ
Parolesde Les Yeux De Ma Mère Ma mère elle a quelque chose Quelque chose dangereuse Quelque chose d'une allumeuse Quelque chose d'une emmerdeuse Elle a des yeux qui tuent
Victime de l'influence de mes petits camarades Annnie, en l'occurrence, victime de mes fréquentations donc, je me lance moi aussi dans mon printemps des poètes » Illustration une figure de proue du XVIIIème siècle, musée de la marine, Paris, 8 mai 2004. Comme je descendais des Fleuves impassibles, Je ne me sentais plus tiré par les haleurs Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs. J'étais insoucieux de tous les équipages, Porteur de blés flamands et de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais. Dans les clapotements furieux des marées, Moi, l'autre hiver, plus sourd que les cerveaux d'enfants, Je courus ! Et les Péninsules démarrées N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants. La tempête a béni mes éveils maritimes. Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flotsQu'on appelle rouleurs éternels de victimes, Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots ! Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème De la Mer, infusé d'astres, et lactescent, Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême Et ravie, un noyé pensif parfois descend ; Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Et rythme lents sous les rutilements du jour, Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres, Fermentent les rousseurs amères de l'amour ! Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes Et les ressacs et les courants Je sais le soir, L'aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes, Et j'ai vu quelque fois ce que l'homme a cru voir ! J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques, Illuminant de longs figements violets, Pareils à des acteurs de drames très-antiques Les flots roulant au loin leurs frissons de volets ! J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies, Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs, La circulation des sèves inouïes Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs ! J'ai suivi, des mois pleins, pareilles aux vacheries Hystériques, la houle à l'assaut des récifs, Sans songer que les pieds lumineux des Maries Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs ! J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides Mêlant aux fleurs des yeux des panthères à peaux D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux ! J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan ! Des écroulement d'eau au milieu des bonaces, Et les lointains vers les gouffres cataractant ! Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises ! Échouages hideux au fond des golfes bruns Où les serpents géants dévorés de punaises Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums ! J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants. - Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades Et d'ineffables vents m'ont ailé par instant. Parfois, martyr lassé des pôles et des zones, La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux Montait vers moi ses fleurs d'ombres aux ventouses jaunes Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux... Presque île, ballottant sur mes bords les querelles Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds. Et je voguais lorsqu'à travers mes liens frêles Des noyés descendaient dormir à reculons ! Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses, Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau, Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses N'auraient pas repèché la carcasse ivre d'eau ; Libre, fumant, monté de brumes violettes, Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur Qui porte, confiture exquise aux bons poètes, Des lichens de soleil et des morves d'azur ; Qui courais, taché de lunules électriques, Planche folle, escorté des hippocampes noirs, Quand les juillets faisaient couler à coups de triqueLes cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ; Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais, Fileur éternel des immobilités bleues, Je regrette l'Europe aux anciens parapets ! J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur - Est-ce en ces nuits sans fond que tu dors et t'exiles, Million d'oiseaux d'or, ô future vigueur ? - Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes. Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer ! Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache Noire et froide où vers le crépuscule embaumé Un enfant accroupi plein de tristesses, lâche Un bateau frêle comme un papillon de mai. Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames, Enlever leur sillages aux porteurs de cotons, Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes, Ni nager sous les yeux horribles des pontons. Arthur Rimbaud Et sur ce, le Plume vous salue bien !
Les Yeux de ma mère" par Arno et Sofian Pamart nous émeut aux larmes. Après plus de vingt ans de carrière essentiellement anglophone, Arno sort en 1995 son premier
Dans les yeux de ma mère » est une chanson emblématique d'Arno. Le chanteur Arno est d'origine Belge, il a commencé à chanter en Anglais et en Flamand, puis en Français. Il s'est connu en France vers les années 90 à travers sa participation à la bande originale du film Merci à vie ». Sa voix est souvent comparée à celle du chanteur Tom chanson Dans les yeux de ma mère » figure dans l'album de l'artiste intitulé A la française », il est apparu en 1995. L'album porte bien son nom. En effet, toutes les chansons sont chantées en langue Française, ce qui n'est pas le cas des albums de cette chanson a toujours bouleversé le public d'Arno lors des concerts. L'artiste interprète cette chanson, avec beaucoup d'émotions, en laissant ses paroles sortir des tripes. Les paroles viennent du chanteur Arno, la musique est composée par Piet Jorens. Le texte de Dans les yeux de ma mère » est profond, simple et parfois naïf. En effet, l'artiste a cette empreinte d'écrire des textes qui sont très simples mais qui véhiculent un message profond sans pour autant en faire trop. Il y a une description osée de sa maman. Il la qualifie de dangereuse, allumeuse, et emmerdeuse ». Il s'attarde à décrire son regard, pour avouer à la fin, qu'elle est la plus authentique des personnes qu'il a connu au s'agit d'une ode à la mère, d'une déclaration crue et osée, chantée avec beaucoup d'amour et de passion, à travers une voix grave, parfois vulgaire mais très bien a annulé ses concerts qui été programmés le début de l'année 2020, à cause de sa maladie, il est atteint de cancer du pancréas, son public s'est montré très solidaire avec lui.
Lechanteur belge Arno est mort à 72 ans. Le chanteur rock des tubes "Les yeux de ma mère" et "Les Filles du bord de mer" est décédé des suites d'un cancer diagnostiqué fin 2019.
Ce magnifique album A la française de notre célèbre Belge Arno » est un pur régal de swing retenu avec Les yeux de ma mère ». Avec ce cinquième opus, Arno nous livre un album exclusivement en français. La légèreté des textes peut faire sourire par moments Mais quand je suis malade, elle est la reine du suppositoire, mais la délicatesse qui s’en dégage est parfaitement touchante. Au travers de son rock’n roll huileux, la voix rauque et candide d’Arno nous transmet un trouble charnel. Le Tom Waits belge est un fou chantant particulier, avec ses tics zygomatiques, sa gestuelle désordonnée, son costar pas très star et son humour de bazar il sait nous faire vibrer la corde de l’émotion. Putain, putain, c’est vachement bien ! Grand disque, assurément ! J’ai choisi ce live qui est fidèle à la version du disque Paroles de Les yeux de ma mère » tiré de A la Française » d’ Arno » Ma mère elle a quelque chose Quelque chose dangereuse Quelque chose d’une allumeuse Quelque chose d’une emmerdeuse Elle a des yeux qui tuent Mais j’aime ses mains sur mon corps J’aime l’odeur au-dessous de ses bras Oui je suis comme ça Dans les yeux de ma mère Il y a toujours une lumière Dans les yeux de ma mère Il y a toujours une lumière L’amour je trouve ça toujours Dans les yeux de ma mère Dans les yeux de ma mère Il y a toujours une lumière Ma mère elle m’écoute toujours Quand je suis dans la merde Elle sait quand je suis con et faible Et quand je suis bourré comme une baleine C’est elle qui sait que mes pieds puent C’est elle qui sait comment j’suis nu Mais quand je suis malade Elle est la reine du suppositoire Dans les yeux de ma mère Il y a toujours une lumière Dans les yeux de ma mère Il y a toujours une lumière L’amour je trouve ça toujours Dans les yeux de ma mère Dans les yeux de ma mère Il y a toujours une lumière Ma mère a quelque chose Quelque chose dangereuse Quelque chose d’une allumeuse Quelque chose d’une emmerdeuse Dans les yeux de ma mère Il y a toujours une lumière Dans les yeux de ma mère Il y a toujours une lumière Dans les yeux de ma mère. 👉Partagez cet article 👇🙂 👍🎵 Partager la publication "1995 Arno > Les yeux de ma mère" FacebookTwitter
Lopus porte un titre symbolique (« Vivre ») et contient, notamment, de nouveaux enregistrements de « Elle adore le noir », « Les yeux de ma mère » ou « Putain putain ». Arno tient ensuite parole en se produisant au début de l’année 2022 sur la scène de l’Ancienne Belgique à Bruxelles. Terriblement amaigri pour avoir perdu quelque 30 kilos, Arno semble
Qui suis-Je? je ne suis pas mon corps physique je ne suis pas mes émotions je ne suis pas mes pensées ni mes réalisations, ni les biens, le pouvoir, les relations, les connaissances que j'ai pu accumuler ni la somme de mes actes, de mes paroles, de mes écrits. je ne suis pas un individu séparé, isolé, indépendant, autonome, distinct; je ne suis ni l'observateur, ni l'observé. je ne suis pas ce tissu de constructions mentales que j'appelle moi, la personnalité à laquelle je m'identifie. Je ne me situe pas dans les objectifs à atteindre, la performance, la comparaison, les résultats. je ne suis ni d'une nation, ni d'une famille, ni d'un sexe, ni d'un groupe. Je ne suis pas le vêtement » temporaire que je porte; je ne suis ni dans le passé, ni dans le futur. Je suis au Centre du Cercle sans contour délimité. En somme, je ne suis rien. Pourtant, étant vide, Je participe du Tout, Je suis Tout; Il est en Moi, Je suis en Lui. Je suis la terre, l'eau, l'air et le feu; Je suis le ciel, les étoiles, les univers, les galaxies, les systèmes solaires, les planètes; Je suis la nature et la vie, l'arbre, le blé, la fleur, l'animal, le minéral; Je suis toutes les formes, les couleurs et les notes de la gamme; Je suis énergie, vibration et oscillation; Je suis le microcosme et le macrocosme; Je suis tout cela à la fois. Je suis au-delà du temps et de l'espace; Au-delà du visible, des sens, du manifesté et de la diversité; Au-delà du bien et du mal, du beau et du laid, du féminin et du masculin, de la vie et de la mort; de la dualité. Je suis Totale interpénétration, intégration, liaison, unification. Je suis Un. Je suis sans forme, sans nom, sans odeur, sans goût, sans taille, sans sonorité. Je suis le non manifesté et pourtant pleine potentialité; Je suis toutes les possibilités. Je suis l'Être Éternellement Présent Ici et maintenant Le Commencement et la Fin simultanément Je suis Conscience Je suis Amour Je suis.
Cesamedi 23 avril, le chanteur Arno nous a quittés. Pour lui rendre hommage, Réal Siellez nous parle d’une de ses chansons, Dans les yeux de ma mère. En juin 1995, sur son album "À la
Français DO RE MI FA SOL LA SI Anglais C D E F G A B Em Bm Ma mère elle a quelque chose G A Quelque chose dangereux C Bm Quelque chose d'une allumeuse C D Quelque chose d'une emmerdeuse Elle a des yeux qui tuent Mais j'aime ses mains sur mon corps J'aime l'odeur au dessous d'ses bras, Oui je suis comme ça G Bm Dans les yeux de ma mère, Em Il y a toujours une lumière. G Bm Dans les yeux de ma mère, Em Il y a toujours une lumière. A L'amour je trouve ça toujours, C D Dans les yeux de ma mère G Bm Dans les yeux de ma mère, Em G Em, Bm/F, G, A, C, Bm, C, D Il y a toujours une lumière. Ma mère elle m'écoute toujours Quand je suis dans la merde Elle sait comme je suis con et faible Et quand je suis bourré comme une baleine C'est elle qui sait que mes pieds puent C'est elle qui sais comment j'suis nu Mais quand je suis malade Elle est la reine du supositoire Dans les yeux de ma mère, Il y a toujours une lumière. Dans les yeux de ma mère, Il y a toujours une lumière. L'amour je trouve ça toujours, Dans les yeux de ma mère Dans les yeux de ma mère, Il y a toujours une lumière. Ma mère elle a quelque chose Quelque chose dangereux Quelque chose d'une allumeuse Quelque chose d'une emmerdeuse Dans les yeux de ma mère, Il y a toujours une lumière. Dans les yeux de ma mère, Il y a toujours une lumière. Dans les yeux de ma mère, Il y a toujours une lumière. Dans les yeux de ma mère, Il y a toujours une lumière. Chordify App Isall in downl'App Chordify esttout en bas
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