L’huître », le Parti-pris des choses de Francis PongeLe Parti-pris des choses est un recueil écrit en 1942 par Francis Ponge et publié en 1942. Il est composéde poèmes en proses où l’on

Description Le parti pris des choses . Précéde de Douze petits écrits et suivi de ProêmesL'huître L'huître, de la grosseur d'un galet moyen, est d'une apparence plus rugueuse, d'une couleur moins unie, brillamment blanchâtre. C'est un monde opiniâtrement clos. Pourtant on peut l'ouvrir il faut alors la tenir au creux d'un torchon, se servir d'un couteau ébréché et peu franc, s'y reprendre à plusieurs fois. Les doigts curieux s'y coupent, s'y cassent les ongles c'est un travail grossier. Les coups qu'on lui porte marquent son enveloppe de ronds blancs, d'une sorte de halos. A l'intérieur l'on trouve tout un monde, à boire et à manger sous un firmament à proprement parler de nacre, les cieux d'en-dessus s'affaissent sur les cieux d'en-dessous, pour ne plus former qu'une mare, un sachet visqueux et verdâtre, qui flue et reflue à l'odeur et à la vue, frangé d'une dentelle noirâtre sur les bords. Parfois très rare une formule perle à leur gosier de nacre, d'où l'on trouve aussitôt à s'orner. En lire plus Auteur Francis ponge Editions Editions gallimard Année 2007 Collection Poésie Reliure Broché ISBN 9782070302239 Options de livraison Plusieurs options de livraison vous seront proposées lors de la finalisation de votre achat selon le vendeur que vous aurez sélectionné. La plus grande librairie solidaire en ligne Dans la librairie de Label Emmaüs, vous avez à disposition plus d'un million d'ouvrages, sélectionnés et triés avec soin par des salariés en parcours d'insertion professionnelle. 100% des livres sont d'occasion ! À chaque livre que vous achetez, vous contribuez au réemploi et à l'insertion professionnelle. Vous favorisez aussi l'accès à la culture pour toutes et tous. Les Garanties Label Emmaüs Paiement sécurisé Label Emmaüs vous procure une expérience d’achat en ligne sécurisée grâce à la technologie Hipay et aux protocoles 3D Secure et SSL. Satisfait ou remboursé Nous nous engageons à vous rembourser tout objet qui ne vous satisferait pas dans un délai de 14 jours à compter de la réception de votre commande. 8 autres livres à partir de 2,50€ VOIR Ça va vous plaire Voici une sélection de produits similaires Le parti pris des choses . Précéde de Douze petits écrits et suivi de Proêmes est dans votre panier ! Le parti pris des choses . Précéde de Douze petits écrits et suivi de Proêmes est dans votre panier ! Le parti pris des choses . Précéde de Douze petits écrits et suivi de Proêmes est dans votre panier ! CHINEZ MALIN ! Continuez vos achats chez Book Hémisphères pour optimiser vos frais de port. Le parti pris des choses . Précéde de Douze petits écrits et suivi de Proêmes est dans votre panier ! CHINEZ MALIN ! Continuez vos achats chez Le Lien pour optimiser vos frais de port. Le parti pris des choses . Précéde de Douze petits écrits et suivi de Proêmes est dans votre panier ! CHINEZ MALIN ! Continuez vos achats chez LeLivreVert pour optimiser vos frais de port. Le parti pris des choses . Précéde de Douze petits écrits et suivi de Proêmes est dans votre panier !

SEQUENCE3 Lecture Analytique 9: L'huitre, Parti pris des choses, Francis Ponge, 1942. L'huitre est un poème en prose tiré du recueil Parti pris des choses, écrit par le poète Francis Ponge en Vous ferez de ce poème un commentaire littéraire. LES PLAISIRS DE LA PORTE Les rois ne touchent pas aux ne connaissent pas ce bonheur pousser devant soi avec douceur ou rudesse l'un de ces grands panneaux familiers, se retourner vers lui pour le remettre en place, - tenir dans ses bras une bonheur d'empoigner au ventre par son n½ud de porcelaine l'un de ces hauts obstacles d'une pièce; ce corps à corps rapide par lequel un instant la marche retenue, l'½il s'ouvre et le corps tout entier s'accommode à son nouvel main amicale il la retient encore, avant de la repousser décidément et s'enclore, - ce dont le déclic du ressort puissant mais bien huilé agréablement l'assure. Francis PONGE Le parti pris des choses »Introduction Difficile de ranger Francis Ponge dans un genre littéraire tant son ½uvre bouillonne d'imagination et d'excentricité...Ponge pose des mots comme on dessine un parcours, un trajet, une expérience vécue. Il est en quête d'une rencontre avec un monde de sensations qui pourrait le réconcilier avec la beauté et l'intensité de la vie. Loin d'être une fuite, un refuge pour âmes cabossées, sa poésie est une conquête ou plutôt une homologation du réel. Son écriture est une machine à être, une porte ouverte entre plaisirs et misères de l'existence. Il ne cherche pas l'objet de farce il reste toujours, petit jeu de mot, aux portes de la réalité en nous offrant un texte à déchiffrer, à interpréter, à scruter et déguster. Chaque objet décrit devient presque un personnage à part entière. Au lecteur de s'y arrimer ! Dans Les plaisirs de la porte », Ponge se jette corps et âme dans un projet trublion, partant d'un sujet revêche et respectant son pari, le parti-pris d'un voyez-vous ça !». Son poème en prose est parsemé de références ou de réflexions surprenantes sur la porte, point de départ ou d'arrivée, avec ses surgissements inopinés. Le pas de porte ouvrant sur un espace du dedans, un monde clos sur lequel on décide d'avoir prise, si l'on décide de s'accommoder de cette séquestration. Dans un premier lieu, nous montrerons que le poète se propose de nous conduire à l'assaut de la réalité domestique en nous faisant découvrir l'un des plus modestes objets une porte, dont il observe tout à loisir le mécanisme. Dans un deuxième temps, il conviendra d'apprécier le défi que se lance l'auteur saisir le monde tel qu'il est, dans sa matérialité, mais aussi sous l'angle de ses répercussions dans notre conscience. I. Une porte, à la dérobée...A. Un réseau de relations qui définit une forme Le vers liminaire, un octosyllabe bien chaloupé, sert d'écrin à une boutade chagrine ceux qui portent couronne ne touchent pas aux portes ». Ponge a recours au présent de vérité générale, comme s'il écrivait une page de dictionnaire. D'emblée, il se livre au jeu de mot à propos du sémantisme de porte » ceux qui portent beau, ceux que l'on porte aux nues autrement dit, les têtes couronnées, ne connaissent pas ce bonheur ». Une passivité malheureuse, si l'on en croit notre auteur... C'est le rôle des portiers d'ambassade, des soldats de conciergerie que de faire la sentinelle, de veiller aux grandes portes ! Les Romains, dans l'ancien temps, avaient déjà leurs factionnaires les dieux lares et autres divinités du sol. Dans la Rome antique, la maison était protégée par une divinité domestique particulière Forculus garde la porte, Limentinus la pierre du seuil, et Cardea les gonds. Dans l'esprit du lecteur défilent les souvenirs les valets de Chambre du Roi et autres garçons de garde-robe, les capitaines de porte » de Louis XIV, portant livrée et hallebarde... Sous l'ancien régime, on les recrutait en Suisse ! Ceci dit, les rois ne connaissent pas ce bonheur », prend soin de préciser le poète, d'exercer une pression sur ces panneaux familiers », pour faire pivoter la porte... Donc, les rois ne sont pas portés sur la chose, un cortège de portiers leur ouvrant la voie. Ah...les funestes règles de l'étiquette ! Ouvrir une porte est pourtant un cérémonial très ritualisé. Pousser une porte nécessite un mouvement de va-et-vient il s'agit de pousser devant soi » l'un des deux vantaux et de se retourner vers lui pour le remettre en place ». Cela va de soi. Les antithèses mettent en valeur ce mouvement. La préposition devant » exprime une antériorité spatiale alors que l'autre préposition vers » indique la direction vers laquelle s'effectue un déplacement ici, la fermeture de la porte. Les deux pronoms s'opposent soi » est un pronom personnel réfléchi, qui renvoie à un sujet indéterminé, indéfini, alors que le pronom de la troisième personne lui » joue le rôle de substitut du mot panneau ». L'oscillation du battant de porte est évoquée dans ce paragraphe par une cadence de la phrase, que rythme l'alexandrin. Ponge se sert du vers héroïque, du grand vers de douze syllabes, qui se glisse subrepticement dans la prose. Les alexandrins, des vers usés jusqu'à la corde, emprisonnent le premier paragraphe, comme s'ils servaient eux aussi d'abattants, de volets. Tout cela à l'image des vantaux de la porte qui se referment sur une pièce quelconque. Au premier alexandrin pousser devant soi avec douceur ou rudesse » répond un deuxième se retourner pour le remettre en place ». De la même façon, la masse textuelle est encadrée par deux octosyllabes à l'entame du poème, Les rois ne touchent pas aux portes », et en clôture après le trait d'union, tenir dans ses bras une porte ». La structure du premier paragraphe correspond à un emboîtement deux octosyllabes encadrant les deux alexandrins. Cette disposition emboîtée fait penser aux poupées russes s'encastrant les unes dans les autres.[phrase de liaison vers la seconde sous-partie de ce premier développement, qui annonce la suite de son propos] Les poupées gigognes ménagent une forme de suspense qui joue avec le sentiment d'incertitude du lecteur. Tout comme les portes, le principe même de fonctionnement du suspense repose sur le mécanisme d'un obstacle ! B. Le suspense dans le poème... Ponge fait comme si on ne savait pas grand-chose sur cette trappe d'accès, ouvrant sur les tanières humaines, sur nos souricières... On peut enfoncer une porte à coups de pied, ou à coups de poing, donc avec rudesse », selon que l'on soit le bienvenu ou pas... Ou bien l'ouvrir délicatement, avec douceur »... Ouvrir une porte, c'est s'offrir l'accès à un monde hostile ou bienveillant. C'est selon. On l'aura compris, on peut user de la force ou non. La porte est avant toute chose un obstacle, c'est une paroi qui arrête la progression ou le passage de quelqu'un. La porte barre les routes, impossible de la contourner. On notera dans le texte la reprise rigoureusement symétrique du complément du verbe l'un de ces grands panneaux familiers » dans le second paragraphe où il est question d'empoigner l'un de ces hauts obstacles d'une pièce ». Une redondance qui repose sur le principe de la construction pronominale spécifique dans ces deux segments de phrase le pronom un », précédé de l'article élidé, est suivi de son complément partitif de ces panneaux », de ces obstacles », les deux groupes prépositionnels marquant ici l'opposition entre les parties mobiles de la porte. La symétrie n'est pas que grammaticale. Au-delà de la correspondance entre ces phrases, les deux compléments d'objet forment quasiment deux ennéasyllabes vers de neuf syllabes. Le suspense, qui reste ici un jeu innocent, repose sur le jeu des digressions. Digressions qui s'efforcent d'exprimer les concepts de manière oblique. Ponge, qui refuse de s'abandonner au pittoresque anecdotique, nous propose d'examiner une drôle de machine comportant des parties mobiles les vantaux ou abattants. Tout le poème se résume à cette interminable confrontation avec un élément-clé de tout édifice. Confrontation qui tend à anthropomorphiser la porte, puisqu'il est question de son ventre » au sens propre, le mot désigne la cavité abdominale des êtres humains. Par métonymie, le ventre » de la porte désigne cet ulcère, cette partie protubérante c'est-à-dire le dispositif qui permet de commander l'ouverture ou la fermeture de la porte qu'on appelle serrure. L'auteur s'intéresse surtout à sa poignée le n½ud de porcelaine ». La poignée pousse l'impétrant à engager un corps à corps » assez rapide » avec cet obstacle massif... La phrase montre une régularité presque métronomique les segments Le bonheur d'empoigner au ventre par son n½ud » et par lequel un instant la marche retenue » sont ciselés comme des alexandrins. Le contact avec la porte est une empoignée ! On saisit à pleines mains cette masse, la partie de cet objet nous permet de la man½uvrer, avec douceur » ou bien avec rudesse ». Un contact familier panneaux familiers » qui réactive le thème des dieux familiers, des dieux lares les dieux de la maisonnée, les lares familiares ou lares domestici. Une certaine sensualité se glisse dans l'expression corps à corps rapide », soulignée par les éléments allitérés allitération des consonnes gutturales /r/. Le lecteur peut imaginer une empoignade sensuelle, exclusivement limitée au temps du plaisir de toucher la poignée. Un bonheur bref mais intense. Une simple poignée en porcelaine nous ouvre tout un horizon il suffit d'ouvrir les yeux... Exercice salutaire que de tourner la clenche ! Il faut mettre du c½ur au ventre ! En se rappelant que toute porte ouvre sur un cul-de-sac...II. Art et signification...A. Le poème en prose une dynamique du langage au service du sens. On pousse des portes sans vraiment savoir ce que l'on va trouver derrière. N'est-ce pas une façon symbolique de définir ce qu'est la vie ? Il y a les portes de prison, les portes du paradis avec son guetteur, le portier des élus, les portes de l'enfer avec son gardien de maison, le nautonnier Charon et son fidèle Cerbère, les portes de la mort, du futur, comme on voudra... La porte, dans son ensemble, dans les mentalités d'autrefois, était placée sous la protection de Janus, ce dieu qui présidait aux commencements notamment au mois qui se trouve à l'ouverture de l'année, Janus est à l'origine du mot janvier et aux passages. D'ailleurs, il faut bien le dire, Ponge commence par le commencement. Et tout comme le prétendait d'ailleurs, et avec malice, le prince de Ligne dans ses mémoires, en amour, il n'y a que les commencements qui soient charmants ». Notre auteur va mettre l'accent sur l'accomplissement d'une tâche spontanée consistant à verrouiller un local, le plus souvent notre écrin familier, bref, à donner un tour d'écrou pour permettre à la porte de faire écran... Une formidable énergie verbale doublée par le raffinement langagier émane de ce texte poétique. Une énergie qui trouve sa source dans l'ambition du poète de prendre à bras le corps le monde tel qu'il est tenir dans ses bras une porte ». Dans ce corps à corps avec le monde des objets s'imposent les traces charnelles des humains mémoire kinesthésique, sensations visuelles ou auditives, perceptions synesthésiques. Précisons...Toute porte implique un mouvement de déportation ou plutôt de déportement. Il faut faire un écart pour refermer la porte. On le pressent, la manière de décrire de Ponge se trouve toujours à mi-chemin de la description scientifique ou technique et de l'article de dictionnaire. Puis, on glisse de la réalité matérielle, sensible, à des représentations mentales qui sont réactivées par les mots ou bien par l'étymologie. Notre texte relève de cette conception dynamique du langage pas à pas, mot à mot, le lecteur redécouvre les différentes facettes d'un objet. Comme dans le Cageot ». Un écrivain qui manque d'allure ne porte pas, comme l'on dit dans les milieux littéraires. Une observation s'impose c'est dans la succession des mots que s'engendre le sens. Le thème de l'ouverture et de la fermeture de la porte débouchant sur une logique territoriale, la porte indiquant une ligne de démarcation ». L'écrivain brouille parfois les pistes en abusant du procédé de la syllepse figure de style, procédé littéraire qui consiste à employer un mot à la fois dans son sens propre –sens non tropique – et au sens dérivé, figuré – sens tropique -. Par exemple, le n½ud de porcelaine » la poignée, sorte d'½il cyclopéen exorbité joue le rôle de point de jonction entre le panneau » et la main amicale ». Rien à voir avec les cordages. Le mot n½ud » est à prendre peut-être au sens métaphorique par analogie avec les n½uds de marin dans ce sens figuré, le terme veut dire point de rencontre ». La poignée, c'est le n½ud de l'affaire, le n½ud vital ! Sans compter que les portes en chêne peuvent aussi présenter des n½uds points de ramification. Ou alors, le lecteur peut considérer que la poignée de porcelaine présente la forme d'un nodule latin classique nodulus, qui signifiait petit n½ud ». Ponge joue avec la matière étymologique, qui cesse d'être muette voir par exemple, L'huître », ou bien encore Le mimosa » dans le recueil La rage de l'expression » - 1952. L'auteur peut s'intéresser aussi aux consonances des mots qu'il emploie. La composition des Plaisirs de la porte », très musicale parfois, nous fait entrer dans un jeu de sonorités le chiasme phonique du vers liminaire roi », portes », les sifflantes qui semblent reproduire par onomatopée le glissement de la porte au ras du paillasson repousser », s'enclore », ressort puissant », l'assure ». Inutile de s'imaginer le grincement d'une porte teigneuse, puisque le ressort puissant » - sans doute la gâche dans laquelle s'engage le penne de la serrure pour tenir le battant fermé - est prétendu bien huilé ». Le style se veut précieux parfois, en témoignent certains mots vieillis comme s'enclore » emploi pronominal réfléchi du verbe enclore. Quand on rentre chez soi, finalement, on s'entoure d'une clôture, d'une palissade. Une détention à huis clos, un emprisonnement volontaire... Vertus publiques, vices cachés. Une expression typiquement française, pour ne pas dire proverbiale, nous enseigne que pour vivre heureux, il faut vivre caché ! Home, sweet home ! déclament les anglo-saxons. Bon, ce n'est peut-être pas la vie de château, ironise Ponge dès la première ligne de son poème, mais c'est là où se trouve notre bonheur » la redondance de ce terme dans les deux premiers paragraphes met en relief ce désir de rentrer à la maison coloré par une satisfaction. Ce que ne saurait démentir la clausule du poème le déclic de la gâche assure » le résident ... Le verbe assurer », dans un sens très littéraire, veut dire rassurer », affermir le courage d'une personne. L'une des fonctions de la porte consiste, à n'en pas douter, à barrer l'accès à la voie publique. Toute personne franchissant le seuil acquiert la qualité de résident, de sédentaire. Voyager, disait un philosophe, c'est chercher bien loin l'envie de s'en retourner très vite ... chez soi ![phrase de liaison vers la dernière sous-partie de son développement] Cette thématique de l'enclave nous amène naturellement à nous interroger sur le sens, la signification du projet de Francis L'art de Francis Ponge la finesse d'une observation philosophique, un eudémonisme paganiste... Le poète lance un défi à l'art contemporain il brise les codes de l'art poétique, les frontières de l'espace...Il semble nous dire qu'il faut se méfier de ce qui est trop banal, trop insignifiant.... Il invente une stratégie nouvelle pour produire du sens, au moyen d'une micro-narration. Il confronte le lecteur à des objets familiers, en lui offrant des outils pour regarder différemment ce monde tour à tour sensoriel, affectif, visuel, conceptuel... Le poème devient en quelque sorte un espace d'imagination collective. Ecrire, c'est lutter mot à mot pour dire ce que l'on ne comprenait pas avant de le dire... Et pourquoi pas, trouver quelque chose d'original pour susciter l'admiration. Pour cela, il faut inscrire l'objet dans l'apparente banalité des jours, puis débusquer des petites bizarreries. Une façon à la fois débridée et savante de raconter, de décrire...Ce qui n'a rien à voir avec les délires et autres ratiocinations spéculatives du surréalisme ! Le titre de ce poème en prose laisse entendre que nul ne saurait bouder son plaisir, celui de planter nos pénates le corps tout entier s'accommode à son nouvel appartement ». Ponge, féru en étymologie, n'ignore pas que le mot appartement » est issu du latin et signifie se séparer », se mettre à part »... La porte introduit une subdivision toute construction possède plusieurs pièces, qui elles-mêmes, remplissent une fonction spécifique autre syllepse de sens, ici. La porte » voulait dire à l'origine passage » par opposition à fores ». L'obturation de la baie s'effectue d'une main amicale », ... Fermer la porte, c'est interdire l'accès à un chez-soi ; rien à voir avec l'open door et le libre accès au public. Enfin seuls ! », semble nous dire le poète... D'où l'emploi de l'adverbe à valeur hyperbolique décidément » qui tend à exprimer que l'on ferme une porte irrévocablement, d'une manière bien décidée. Pas de place pour l'aléatoire ou un entre-deux de porte, ni pour les battants entrouverts ou les portes entrebâillées... On ne fait pas les choses à demi. Et cela, Alfred de Musset l'avait compris Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée » pièce de théâtre intitulée Proverbe » et publiée dans la Revue des Deux Mondes en 1845. Ferme résolution après la marche retenue » que de nous enfermer dans nos caponnières, nos casemates ou gibernes ! Ici, le mouvement léger de ce pas de deux presque dansé s'oppose à la pesanteur massive du châssis de la porte. Les gestes les plus simples sont chargés de sens fermer la porte est, pour notre poète, une véritable chorégraphie ! Il se propose de multiplier les voies d'accès, les voies d'entrée dans la réalité domestique, un moment intime qui nous happe, qui accroche notre regard. Un présent qui déborde notre vision habituelle... Le rythme, l'agencement des phrases, l'amalgame de la prose et du vers libre caractérisent le poème en prose... La progression, dans ces lignes, obéit à la règle de la consécution. La prouesse de Francis Ponge, artiste plasticien et avant tout conceptuel, réside dans le fait qu'il parvient à nous faire accepter l'irruption dans l'écriture poétique de ce qui est banal... Le Parti pris des choses » est une sorte de catalogue hétéroclite, un inventaire à la Jacques Prévert, parti jeu de mot involontaire à la recherche non pas d'un ailleurs, mais d'un quotidien que l'auteur parvient à sublimer. Sa poésie est celle d'une subjectivité totale, celle de l'homoncule philosophe qui déplace les bornes de notre horizon. Et mieux contester la disparition du beau !CONCLUSION[premier alinéa reprise d'ensemble des commentaires développés précédemment, des pistes d'exploration] Ponge, dont l'hermétisme littéraire n'est pas vraiment justifié, nous mitonne des poèmes en prose pour nous faire découvrir ou simplement savourer la beauté, la plasticité et l'étrangeté parfois des choses. Les objets trouvent enfin leur place dans le monde. Le poète sublime l'art du coup d'essai dans une langue qui taille dans le vif, dans la chair des mots. Bref, les choses se transforment en mots sur le papier. Ponge se pose en graphiste surdoué dans l'art du graffiti. Il restitue scrupuleusement les ambiances, les couleurs, les usages, les dits et non-dits. Loin du surréalisme, guidé par le seul souci de la crédibilité, le poète se fait imagier. Un peu à l'exemple des sculpteurs dans l'art funéraire, immortalisant gisants et transis. C'est du grand art que de réussir à décrire avec des mots simples. De décliner des verbes, avec les temps simples de la conjugaison élémentaire...[synthèse de généralisation, avec pour point de mire le recueil de poèmes en prose] Le recueil intitulé Le Parti pris des choses » nous emporte par son érudition, son humour parfois.... Un tour de force, mais minimaliste, afin que nous ne restions pas étrangers au monde et donc à nous-mêmes. Ponge est un amoureux des mots qui rend éternelle la raison d'être d'un lieu, d'un objet domestique, d'un ustensile... Il nous rappelle que la création littéraire est avant tout une invention de formes nouvelles... Dans le même temps, le langage, pour lui, est non pas une re-création » mais plutôt une re-présentation » qui dilate nos c½urs.[ouverture du point de vue, élargissement du débat en essayant d'appréhender l'½uvre de Ponge d'une manière originale, par exemple en faisant référence au pédopsychiatre Winnicott, qui a étudié l'interrelation psychosomatique induite par l'objet transitionnel] L'art poétique de Francis Ponge se fonde sur une esthétique de l'observation, plus que de la suggestion. Une chimie mystérieuse, une martingale qu'il nous faudrait suivre pour mieux apprécier le monde tel qu'il est, pour déterminer l'importance de telle ou telle chose. La poésie pongienne, un propos tranquillisant qui agirait comme un objet transitionnel ? Travail personnel du professeur, Bernard MirgainConseils de lecture *Pascal Dibie "Ethnologie de la porte, des passages et des seuils" - éditions Métailié - Paris - 2012 - 423 pages*Jean-Philippe Toussaint La salle de bain » - Editions de Minuit - 1985*Isabelle Serça Esthétique de la ponctuation » - éditions Gallimard – Nouvelle Revue Française - 320 pages – 2012*Francis Ponge Le Parti pris des choses » - collection Folioplus classiques - excellentes analyses d'Emilie Frémond, agrégée de lettres”Da ich nichts anderes bin als litteratur und nichts anderes sein kann und will”– Franz Kafka
FrancisPonge : L'Huître (Le parti pris des choses : 1942) Citation : "Le meilleur parti à prendre est de considérer toute chose comme inconnue" (Francis Ponge) Introduction : Titre manifeste, le Parti pris des choses de Francis Ponge indique une voie poétique où l'écrivain, tournant le dos à tout lyrisme, se mêt en quête de la matérialité des
Harry Potter 2005 ~¤~ Académie de Poudlard ~¤~ Le ParcAtana MarkoffSerpentard Re Le potagerAtana Markoff, le Ven 7 Aoû - 1753 A la merci de la grande petite Nymphadora la jeune OdP se demandait bien quelle idée complètement décalé pouvait bien traverser son esprit ... C'est donc quelque peu réticente et inquiète qu'elle s'apprêtait à écouter l'histoire de ce Harry Cot ... Elle n'eut pas le temps de protester qu'elle se retrouvait déjà avec des haricots dans le nez ... Elle écarquilla les yeux et fut convaincu de la défiance mental de son amie. Toutefois celle-ci fut assez gentille pour les lui retirer bien vite et souffler dedans ... Atana se faisait l'effet d'être un petit monkey que sa maman dorlotait et nettoyait. A quand la recherche de poux ? Atana avait maintenant le nez qui la grattait férocement. Elle plissait le nez furieusement pour faire passer les démangeaisons alors que sa bougresse s'était déjà relever le regard fix et presque brillant comme si elle avait vu le Messy ... Atana s'en inquiéta mais préféra se pencher sur son problème nasal. Merlin mais que met Argan dans ses haricots ... ? Enfin bref après cet inter-monologue des plus intéressant Atana se rendit compte qu'elle était seule et "libre" sur le sol boueux et instable d'Argan. Elle regarda Nymphadora de haut en bas et un sourire coquin apparut sur ses lèvres ...Elle se releva et changea ses vêtements en bikini. La pluie lui fouetta les bras et la rafraichit d'un coup ce qui la fit frissonner mais ce qu'elle avait en tête était bien plus ... passionnant. Elle ne prit que quelque minutes avant de mettre à nu sa nouvelle amie ... A nu bien grand mot, mais il est vrai que le bikini ne recouvrait que peu de la peau de la jeune fille au plus grand plaisir d'Atana. Elle la trouvait même hilarante avec juste ses extrémités recouverte de boue. Tout à son spectacle elle ne vit pas Nympha' lui sauta dessus pour la rouler dans la boue. Mais quelle coquine comme quoi l'habit ne fais pas le moine ... Et surtout qu'elle tigresse, on nous avait caché que les lions étaient fougueux ! Le baiser qui lui donna Nymphadora la surpris autant qu'il lui enflamma les lèvres au sens propre du terme ... Atana se mit à tousser, décidément cette gryffondor était pleine de ressources ... Mais si elle comptait s'en sortir indemne c'était très mal connaître la jeune ex-serpy, elle la retourna pour pouvoir la dominer et pu constater que cette petite partie du jeu plaisait grandement à Nymphadora ... Bon à savoir. La jeune entreprenante s'empara une nouvelle fois des lèvres d'Atana avec cette fois-ci plus de douceur et moins de ... piquant, bien que l'effet longue durée du piment se faisait encore ressentir. Pas mal mais si la Gryffondor appelait ca un baiser on était bien loin du compte ... Tu appelles ça un baiser ? Tu es bien loin du compte ...Atana s'approcha de la jeune Gryffondor et s'empara de ses lèvres après avoir balayé son souffle dessus, elle plongea son regard dans celui de la Magenmage et s'amusa à la troubler avec son apparence de Vélane ... Mais si elle n'est pas attiré par les filles ca risquait d'être long. Elle lui donna douceur et tendresse répondant au corps pressant de Nymphadora. Elle avait perdu toute notion de froid, de lieu et de temps lorsqu'elle reçu une énième tomate dans la nuque brisant tout le charme de cet instant ... Atana se redressa toujours assise sur Nymphadora et esquiva une tomate volante qui s'applatit en magnifique "Splash" sur le visage de la jeune banquière. La jeune brune ne put s'empe^cher de rigoler mais du bien vite se rendre à l'évidence rigoler avec une tomate pas mur qui vous tombe dessus il y a mieux ...Deux baguettes partirent en direction du pauvre épouvatail qui explosa en potiron pas mure ... le tout abîma au passage les bouteilles d'alcool qu'avait apporté Nymphadora. Mais c'est que tu ramènes tes réserves en plus ! Cachottière !La jeune brune se dépêcha d'aller sauver les pauvres rescapées d'une mort certaines mais c'était sans compté sur la dextérité de la mangenmage. Atana se retrouva la tête la première dans de la crème au citron en guise de sol. Elle tenta de se redresser mais ce truc était encore plus gluant qu'un sable mouvant ... Alors ma vieille ?! T'as du mal ?Atana n'eut qu'à tendre la main pour attraper la cheville de Nympah' qui passait par là. Elle la fit chuter au sol et se jeta de tout son corps sur celui glissant de la jeune fille. Elle luttèrent ainsi en poussant des grognements des plus sexy. Les cadavres de bouteilles les regardaient en espérant l'une d'elles prennent le dessus et les portent à leurs lèvres ... Atana se retrouva sur le dos mais se remit bien vite en position de domination Avoue que tu préfères ... Pour toute réponse Nymphadora se glissa tel un poisson jusqu'au bouteille après qu'Atana les ai faites léviter au dessus de leur tête. L'ex-Serpy en prit une et la porta à ses lèvres tout en se mettant debout ... et en esquivant les "attaques" de Nymphadora Alors que fait-on pour avoir une jolie petite bouteille ? Nymphadora LupinLégendeGryffondor Re Le potagerNymphadora Lupin, le Lun 10 Aoû - 423 Etait-ce le baiser d'Atana qui la rendait ainsi ou était-elle depuis toujours, au fond d'elle, à voile et à vapeur ? Peu importe, si elle préférait les lèvres sensuelles d'une demoiselle à celles rugueuses d'un jeune homme, là pour le moment, elle comptait profiter à fond de cet instant d'intimité avec la jolie vélane. Vélane qui usait de ses charmes sur l'esprit, déjà troublé, de la jeune Magenmage. Elle aurait aimé que cela dûr encore des heures voir même des jours, mais bien sûr, c'etait sans compter sur l'intervention d'une tomate, qui sentait plus l'huitre qu'autre chose. Comme d'un commun accord, elles détruisirent en même temps le faiseur de troubles. La jeune prof avait une belle vue, car elle capta les deux ou trois bouteilles qu'avait amenées Nymphadora, elle ne comptait pas les boire avec elle, c'était prévu pour Argan. Son plan était simple, elle faisait boire le garde-chasse et, une fois saoule, elle profitait de lui, de son corps plus précisément... Qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour ne pas terminer jeune fille. Mais... Mais... Quelle imbécile finie, elle pourrait facilement faire la même chose avec la belle Atana, depuis le temps qu'elle rêvait de prendre une douche à deux. Mais la chose était beaucoup plus difficile à faire qu'à dire et elle dut engager une lute au corps à corps, pour ne même pas récuperer une seule bouteille. Cela ne la dérangeait pas trop, elle avait eu le bonheur d'effeurer, de sa main, certains endroits d'Atana, que je ne vous décrirais pas , mais qui la rendaient de bonne humeur. Une nouvelle fois soumise, elle se mit à l'évidence elle adorait être dans cette situation. Alors que fait-on pour avoir une jolie petite bouteille ?Je pourrais faire tellement de choses que tu n'aurais pas assez d'une vie pour toutes les énumerer. Nymphadora se mit a dandiner dans la boue, effectuant une danse qu'elle pensait sexy, si vous prenez en compte le fait que la jeune banquière ne connaissait pas la définition du mot sexy, elle avait plus l'air ridicule qu'autre chose. Agacée par les sourires narquois de sa compagne, elle prit sa baguette et fit exploser la bouteille qu'Atana tenait entre ses mains. Le liquide alcoolisée se répendit sur son corps et Nymphadora s'empressa de le boire à même la source. - C'est encore meilleur ainsi, ma prit les autres bouteilles et porta le goulot à ses lèvres, faisant glisser le liquide rosâtre le long de sa gorge. Aux regards envieux d'Atana, tout le monde aurait pu se rendre compte que cette dernière avait soif. Nymphadora prit une dernière gorgé avant de poser ses lèvre sur celle de la vélane, faisant passer l'alcool d'une bouche à l'autre. Elle en profita pour l'embrasser de nouveau et se rapprocher un peu plus d'elle. C'est vrai qu'elle n'était pas vélane, mais elle espérait vraiment faire tomber Atana sous son charme. Une fois les trois/quatre dernières bouteilles enfilées à elle deux, les deux jeunes femmes étaient plus que pleines. La preuve, elles étaient couchées l'une sur l'autre et se racontaient des histoires stupides sur les membres de l'ordre ou mangemorts. C'est maintenant que tout se jouait pour Nymphadora, maintenant qu'elle se prenait un vide ou maintenant qu'elle allait passer le plus beau moment de sa vie, pour l'instant... Elle se releva, embrassa sa compagne du bas du ventre jusque dans le creux de l'oreille et lui susurra son envie - Ca te dit de prendre une douche avec moi dans la cabane du garde-chasse ? Derrière le rideau blanc et à l'abris des petits curieux, on serait libre de faire tout ce qu'on veut. Actarius BrightSerpentard Re Le potagerActarius Bright, le Mar 22 Fév - 132 Était-ce l’effet l'ennuie et la monotonie? Ou les regrets...? Ou encore la vie elle-même? Quoi qu'il en soit, le jeune homme se sentait dérouté, en proie à une profonde descente en chute libre. Qu’espérait-il exactement ? Devenir l’homme le plus puissant du monde magique ? Oh non… C’était un rêve de jeunesse qu’il avait tôt fait d’oublier. Alors ? Atteindre la perfection ? Difficile à réaliser ; et puis l’homme en son essence même n’est pas fait pour être parfait alors, quelqu’un comme lui, Actarius… Encore un rêve qu’il avait oublié bien assez vite. Ou encore ? Ou… ? Que lui restait-il de rêve, somme faite ? Pas grand-chose tout compte fait. Du moins, il n’avait plus aucun rêve, plus aucun objectif… Il ne savait plus où donner de la faisait un peu plus d’une semaine qu’il n’avait pas pied dans sa propriété, aussi bien principale que celle secondaire. Il ne s’y sentait plus chez lui, bien qu’il se soit battu des années durant pour obtenir cette aisance matérielle. Aussi avait-il déserté la maison pour se réinstaller dans sa cabane de Garde-Chasse à Poudlard, accompagné de son seul » et fidèle ami, le phénix matin-là, Perceval, pour passer son mal-être grandissant avait envisagé de s’envoler pour une longue ballade au côté de son phénix et avait finalement opté pour se défouler physiquement. Au moins il pourrait entretenir son potager laissé à l’abandon depuis quelques jours mais aussi et surtout, cela lui permettrait de penser à autre chose que les ténèbres qui s’instauraient en son être. Ne serait que quelques instants, quelques heures…S’étant donc armé d’une paire de botte de travail en caoutchouc, pratique dans son cas, Actarius s’en alla, un grand sac de cuir ovale à l’épaule, en balade » dans la forêt interdite qu’il connaissait, foi, fort bien depuis le temps qu’il s’y promenait –autant quand il fut élève que maintenant en Garde-Chasse-. Il revint sur ses pas, à peu près une heure plus tard après son départ, le sac plein de ce dont pourquoi il était allé fouiller en forêt du fumier et de la matière organique en décomposition. Évidemment, le sac plein qu’il ramena était sous scellé ; vaut mieux de fois qu’ s’adonna par la suite au désherbage de la terre, retirant, manuellement, chaque pousse de mauvaises herbes qu’il trouvait. Le temps avançait vite, le soleil continuait inlassablement sa course dans le ciel et lui, comme il l’avait espéré, se sentait bien, à travailler de ses dix doigts, comme un vulgaire » moldu. Le Garde-Chasse ne se pressait pas pour achever sa tâche, puisque l’engrais disséminé un peu partout dans le champ, il fit durer le plaisir, arrosant allègrement les plantes, fruits et légumes qui poussaient là. Mais il fallut bien s’arrêter. Le jardin n’était malheureusement pas si gigantesque que cela. Il continuait de jouer avec l’eau et il aurait tôt fait de noyer les sa paire de gant de jardinage et ses bottes en latex, il retourna à l’ombre de sa cabane et fonça directement sous la douche. Il se senti aussitôt mal de C’est quoi cette vie de Mer** ?!Oh oui, avec la blaz’attitude », même lui, jeune aristocrate qu’il était, ou du moins, qu’on lui avait appris à être, ne put s’empêcher de débiter mille et une obscénités ; tout ce qui lui passa la tête –et que nous éviterons de citer de vive écriture, pour ne pas dire, de la salle de bain, il s’en alla prendre un petit-déjeuner des plus banales après s’être brièvement chouchouté » le physique. Ce n’est parce qu’il n’allait pas bien à l’intérieur que l’extérieur devait en faire l’écho. Son petit-déjeuner bien au fond du trou » qui lui servait d’estomac –comme à tout autre-, il demanda à son phénix de le suivre et sorti alors que celui-ci se posait sur ses épaules. Il s’avança de quelques pas et laissa son regard se porter sur l’une des tours du château… Le bureau du Directeur de Poudlard, ou dans ce cas, de la Directrice. Il mourrait d’envie d’utiliser son don d’Animagus pour améliorer sa vision et observer au travers de sa fenêtre, mais il se résigna à le faire. Il était des choses auxquelles il ne fallait penser. Elle –la complicité qu’il avait eut- était de ces jeune Bright porta un dernier regard sur la cabane, son nid, et se transforma finalement en Aigle, prenant soin de ne pas regarder en direction du bureau de la Miss Skywolf. Il ne savait quand il reviendrait en ces lieux, mais il savait qu’il partait pour peu de temps. Étant donné que s’était les vacances à l’école, on ne remarquerait pas vraiment son absence.*Et si…*__________________________Suite à venir, à la Boutique d'Animaux Magiques Invité Re Le potagerInvité, le Lun 31 Oct - 1917 Allongé tout habillé sur son lit à baldaquin Selwyn se saisit de sa montre 1 heures et 37 minutes. A cette heure avancé de la nuit le château devait être endormit. Sans attendre mais dans un silence des plus complets le jeune homme se leva puis sortit de son dortoir, et de la salle commune de Serpentard. Pour l'instant il avait fait le plus simple, désormais il devait se balader et sortir du château sans se faire repérer, il y avait le concierge, les fantômes et puis les professeurs, si jamais il se faisait prendre s'en était finit de vent glacial balayait le parc de l'école, mais malgré cela Selwyn avait le sourire, il avait réussit à sortir du chateau, il ne devait qu'a la chance le fait de ne pas avoir croisé de professeurs. Si jamais il avait pensé à emmener sa cape d'invisibilité à Poudlard il n'aurait pas eu à se soucier de ça, malheureusement ladite cape était resté au manoir d' hésitation le jeune homme se dirigea vers la cabane du garde chasse de l'école, à cette heure il devait sans aucun doute serpentard se remémora ce qui l'avait conduit à cette escapade nocturne Au cours d'une leçon de potions, lui et un autre vert et argent avaient fouillé un vieux livre appartenant à Ismael. Apparemment une potion permettait de faire tomber, d'un seul coup les oreilles de la personne assez bête pour boire le breuvage. Et bien sur, ils avaient voulu reproduire cette potion, elle était d’ailleurs presque terminé, il ne manquait qu'un seul élément essentiel Du sang de coq. C'est donc pour cela que Selwyn s'approchait de la douzaine de coq qui avait élu domicile près de la cabane, la baguette dans la main droite et un poignard en argent dans la main qu'il se trouvait à moins de deux mètres des volailles Selwyn lança un "Petrificus Totalus" en informulé. Étant donné que les poulets dormaient le résultat ne fut guère impressionnant, pourtant Selwyn était sur de lui. Sans perde une seconde il se saisit d'un poulet puis lui trancha le cou, aussitôt le sans coula à flot. Selwyn fit apparaitre très rapidemen tune coupe en or ayant subit un sortilège d’extensibilité. Il trancha un deuxième cou, puis un troisième, un quatrième, un cinquième et un sixième. Sans s'attarder le jeune homme regagna son lit, Halloween promettait d'être sensationnel. Philéas ByrneSerdaigle Re Le potagerPhiléas Byrne, le Lun 5 Déc - 1528 Sa longue cape battant l'air comme un étendard indiguo, Philéas remonta le chemin vers le parc à grandes enjambées. Attendu comme le reste de ses collègues, il n'avait eu aucun mal à pénétrer l’enceinte du château. Nimbé par les froids rayons du soleil automnal, il ne cessait de ressasser les mêmes avait passé la nuit dans la salle des potions du QG de Wood Stuff, étudiant et analysant les indices avec attention et minutie. Mais, chassant toute sensation de fatigue, c'était l'image formée par la fumée qui s'échappait de la préparation à base d'eau de roche qui s'était imprimée dans son son regard incrédule, ondulait une représentation de la créature qui avait laissé un peu de salive sur les lieux du double meurtre. Le doute n'était plus permis, il s'agissait d'un basilic !Pourtant, ce n'était pas la peur d'affronter une telle créature qui habitait le coeur du sorcier aux yeux noirs. En fait, il trépignait d'impatience. Ce n'était pas tous les jours qu'un passionné de créatures magiques comme lui, avait l'occasion de rencontrer le roi des serpents ! Il avait tant de fois rêver devant les lithographies de ces monstres mythiques, que cela lui semblait presque Phil' s'efforçait de ne pas perdre de vue la gravité de la situation. Presque tous les occupants du château, de passage ou résidents, étaient susceptibles de succomber sous le pouvoir mortel du sinistre reptile. Il fallait agir vite et efficacement pour tenter de mettre tout ce beau monde à l' tâche ne s'annonçait pas des plus faciles, ils ignoraient encore où se cachait le basilic et la manière dont il était arrivé là. Nul doute qu'il n'était pas tombé du ciel et qu'une personne portait la responsabilité de ses actions. Le visage de l'animagus se renfrogna un peu. Il était agacé qu'un fanatique en mal de grandeur ne vienne encore à utiliser un si noble animal pour exécuter ses basses besognes... C'était toujours la même histoire, des tarés qui se prenaient pour ce qu'ils n'étaient pas commettaient des horreurs et c'était l’innocente créature qui payait de sa vie l'addition de leurs méfaits. * Si c'est encore une de leurs pathétiques histoires de sang pur, je gerbe direct... * songea-t-il en arrivant en vue de la cabane du garde chasse. Le sorcier au teint hâlé devait prévenir tout le monde de l'identité du coupable, chacun pourrait ainsi agir plus efficacement. Il avait laissé l'honneur à son amie et supérieure de prévenir les huiles de l'académie et du ministère. Ces personnes lui hérissant le poil, il avait préféré prévenir les sorciers qui se trouvaient sur le terrain. Parmis eux, ses collègues du ministère dont il n'en connaissait personnellement pas la moitié, sa vieille amie Emilie, son ancien condisciple avec lequel il avait récemment reprit contact et l'une des sorcières dont il était le plus était au milieu des courges, quand il s'arrêta et empoigna sa baguette. Levant celle-ci au ciel, il informula un sort qui la fit irradier d'une lumière nombreuses sphères lumineuses s'envolèrent alors pour se diriger vers la célèbre école. Tandis que certaines continuaient dans les airs, d'autres se posèrent au sol. Les patronus se changèrent alors en singes et poursuivirent leur route en courant sur la pelouse, ils recherchaient le destinataire du message dont ils allaient se faire l'écho. Une fois tous les aurors, la concierge, le garde-chasse et le professeur de potion localisés, les langurs se mirent à parler d'une voix froide et tranchante avec un léger accent Les indices ont parlé, le tueur d'Halloween est un basilic ! Agissez en conséquence !Ce message, bien que succin, avait au moins le mérite de dire l'essentiel. Chacun était assez grand pour savoir ce qu'il avait à faire, ce n'était pas à lui de donner des ordres. D'ailleurs, en parlant d'ordre, Céleste lui avait attribué un partenaire pour sa patrouille dans le parc. Mais, obnubilé par ses expertises, il ne l'avait écouter que d'une oreille et ne se souvenait plus de l'identité de son acolyte. Préférant fuir à l'étranger que d'avouer à sa supérieur qu'il ne l'avait pas écouté, il décida de commencer seul. Avec un peu de chance, il ferait équipe avec un sorcier plus attentif que lui qui saurait le retrouver. En attendant, il s'occuperait comme il pouvait. Sara ShakeSerdaigle Re Le potagerSara Shake, le Mar 6 Déc - 2141 La jeune femme n'avait pas beaucoup dormi durant la nuit précédente. Les évènements passés l'avaient beaucoup éprouvée et ce fut avec les traits tirés que la maman accueillit ses enfants au petit matin. Aaron et Léa furent particulièrement calmes et ne posèrent aucun aucune question, ce qui était bien étrange venant de leur part. D'habitude, les jumeaux n'étaient pas avares d'informations. Mais ce jour-là, ils semblèrent sentir que Sara ne serait pas très bavarde. Elle leur fit cependant tous les câlins et tous les bisous auxquels ils avaient droit, un sourire sincère sur les lèvres. N'ayant avalé qu'un jus d'orange et quelques céréales, la jeune maman partit le ventre léger. Toujours silencieux, les jumeaux lui dirent au revoir et retournèrent à leur petit déjeuner, en attendant que leur père aille les conduire à l'école. Sara se rendait justement dans une école, mais pas une école comme les autres. L'académie de sorcellerie d'Angleterre, Poudlard. Bien qu'elle s'y fut rendue quelques heures plus tôt, elle devait y retourner afin d'y effectuer une espèce de patrouille en compagnie d'un Auror. Avant de retourner chez elle, la Magenmage s'était entretenue avec la Chef des protecteurs du Bien, Céleste. Elle avait désiré à lui parler d'une chose importante, et malgré plusieurs soupçons et des regards interrogateurs, l'Auror avait accepté que Sara se mette à son service avant d'envisager quoi que ce soit d'officiel. D'abord, elle devait en parler avec ses acolytes. Ensuite, seul l'avenir pouvait le prédire. En tout cas, la Mangemorte qui n'en serait plus une dans quelques temps, était bien heureuse que la jeune femme lui fasse confiance. La métamorphomage n'était pas une menteuse et ses envies de repentance étaient tout à fait ne fit pas attention et manqua de se prendre la tête la première dans le portail de l'école. Perdue dans ses pensées positives malgré l'urgence de la situation, la belle blonde fixait les barreaux qui se trouvaient à quelques centimètres de son visage. Se traitant de tête de lune, elle attendit que quelqu'un vienne lui ouvrir. Céleste avait prévenu que ses Aurors viendraient pour patrouiller et que la jeune femme en accompagnerait un dans son tour de vigile. Au bout d'un moment, Sara entra dans l'enceinte de Poudlard et son regard fut attiré par des boules lumineuses au loin. Elles ressemblaient à des Patronus lancés tels des fusées de feux d'artifice. Non intriguée, la jeune femme continua sa route. Elle devait retrouver l'Auror aux alentours de la Cabane du Garde-Chasse. Cet Auror n'était autre que celui qui accompagnait Céleste hier soir, et qui avait fait des prélèvements dans la marre de sang. Il était rentré au Ministère, ou au Quartier Général des Aurors, afin de faire des analyses. Sara était curieuse de savoir s'il avait trouvé quelque chose à propos du Basilic qui rampait dans les tuyaux de l'école. En tout cas, elle ne devait pas se trahir. Elle se demandait si la Chef des Aurors avaient parlé à ses acolytes de sa situation délicate, malgré sa promesse de ne rien dire tant que rien ne serait officiel. Haussant les épaules mentalement, la métamorphomage se retrouva bien vite près du jardin potager du Garde-Chasse. Il n'y avait aucune trace de l'Auror censé être son compagnon de patrouille. Ou bien il n'était pas encore là, ou bien il avait déjà commencé sans elle. Faisait la moue, elle fit plusieurs pas et scruta l'horizon pour tenter d'apercevoir une silhouette. Avec le soleil d'automne dans les yeux, Sara dut mettre sa main en visière pour espérer voir quelque chose. Il lui semblait distinguer une forme au loin. Comme cela valait mieux qu'autre chose, elle se dirigea vers sa destination. Quelques minutes plus tard, elle discerna mieux les traits de la personne qui marchait. C'était bien l'Auror qui avait accompagné sa Chef la veille. Quel était son nom, déjà ? Ah, Philéas ! Donc, celui-ci ne l'avait pas attendue. Si la jeune femme s'était laissée aller à ses anciennes pulsions, il serait déjà cloué à l'un des arbres de la Forêt Interdite par les mains, ses pieds à plusieurs centimètres du sol, une lame affûtée jouant avec sa peau. Mais ça, c'était il y a fort longtemps. Esquissant un sourire malgré tout, songeant à cette époque révolue, elle s'avança plus vite vers lui et le salua, légèrement embarrassée par ses pensées précédentes. Bonjour... Tu es Philéas, c'est bien ça ? Sara Shake... Céleste m'a dit que je devais patrouiller avec toi... »Une demi-seconde plus tard, elle se demanda si le tutoiement était le bienvenu, étant donné qu'ils ne se connaissaient pas. Mais lui étant plus jeune, la jeune femme se dit que cela n'était pas bien grave... sauf si ce jeune homme était porté sur l'étiquette ! Kyara BlanchetLégendeSerpentard Re Le potagerKyara Blanchet, le Sam 12 Jan - 1505 Pv Andrew CollinsDu calme, c'était tout ce que désirait Kyara. Il fallait absolument qu'elle s'isole avant de commettre un meurtre qu'elle pourrait regretter après coup. Les cheveux pleins d'une substance visqueuse verte dans les cheveux, elle traversait les couloirs rapidement d'un pas destructeur. Des deuxièmes années de Serpentard avaient eu "l'excellente idée" de faire une blague à la première personne rentrant dans la salle commune. Le repas du midi avait à peine commencer que Zoey sa cousine était venue lui rendre le livre qu'elle lui avait prêté. C'était le livre préféré de Kyara, son père lui avait offert quand elle était petite. C'était un livre de contes, mais pas pour enfant, pour adulte. Les monstres et la magie noire étaient donc de la partie, pourtant la brune n'avait jamais eu peur en lisant ce livre, cela l'avait même fait rire à certains donc à ce livre comme à la prunelle de ses yeux, la serpentard avait décidé de le rapporter directement dans son dortoir afin de ne pas le tacher lors du repas. Laissant ses camarades, elle fila donc toute contente quand le drame arriva, alors qu'elle passait l'entrée de la salle commune, un ballon remplit de la fameuse substance lui tomba dessus l'éclaboussant de la tête aux pieds. En temps normal Kyara aurait rigolé à la blague. Quand elle était jeune c'était une vraie délinquante donc il lui en fallait beaucoup pour l'atteindre. Elle était même en train de commencer à sourire quand Kyara se rendit compte avec horreur que son livre avait été taché. Avec horreur elle s'était décomposé quand des rires étouffées brisèrent le silence qui régnait dans la pièce. Relevant la tête, une lueur dangereuse dans les yeux, la brune repéra en quelques secondes deux têtes brunes qui se cachaient derrière les la tête de Kyara ils comprirent bien vite qu'ils allaient le regretter et ils voulurent mettre les voiles dans leurs dortoirs, malheureusement pour eux, la brune fut plus rapide. En quelques enjambées, elle le rejoignit et attrapa le premier par le col avant de le plaquer contre le mur. Sortant sa baguette, elle lui enfonçant dans le cou alors que le malheureux s'était instantanément liquéfié et à présent trembler comme une feuille. Ils restèrent ainsi pendant une bonne minute avant que Kyara n'inspire profondément. Elle avait promis à ses cousines d'être sage, de ne plus s'attirer des ennuis, aussi avec un effort considérable, elle relâcha l'élève qui tomba à genoux sur le sol. Se tournant vers l'autre serpentard qui était figé sur place, la brune lui fit signe de mettre les voiles. Sursautant, il fila alors en quatrième vitesse suivi de près par son ami qui avait retrouvé aussi ses pinçant l'arête du nez, elle avait alors mis les voiles pour se calmer. C'était ainsi qu'elle se retrouvait dans les couloirs, toute sale et en colère. Sortant du château, elle savait où aller pour être au calme. Le potager. Enfin potager était un bien grand mot vu qu'il était à l'abandon depuis la saint glinglin. Peu de personnes allaient la-bas à cause de la végétation, c'était donc l'endroit parfait. Tournant dans un petit sentier, elle arriva afin à son lieu de paradis, enfin façon de parler. Allant vers la cabane, la brune l'escalada afin de se trouver sur le toit. Là, elle regarda le livre qui était dans un piteux état. Le posant à coter d'elle, Kyara se rendit alors compte qu'elle avait "semer", on pouvait la suivre à la trace vu que le machin visqueux avait coulé tout le long de son chemin. Super. Poussant un grand soupir, elle s'allongea sur le dos et ignorant le froid entama des exercices de respirations pour se calmer. Il aurait fallu qu'elle se débarrasse de cette substance, mais elle n'avait pas la foie, avec un peu de chance ça lui ferait un soin du corps tient ! Invité Re Le potagerInvité, le Dim 13 Jan - 1138 N'ayant pas faim, Andrew se balladait dans les couloirs du château qui étaient entièrement vide. Tous les élèves se trouvaient à la Grande Salle, le déjeuné avait commencé il y a quelques minutes. Cependant, le Poufsouffle s'ennuyait depuis quelques temps, il décrochait en cours, passer des heures dans la Salle Commune à ne rien faire comme autrefois ne l'amusait plus et cela faisait un bail qu'il n'avait pas vu sa petite amie. De plus, avant les vacances de noêl, le jeune sorcier avait fait plusieurs rencontres qui s'annonçaient plutôt bien. En effet, celle-ci lui permettait d'élargir son cercle d'amis étant donné qu'il n'en avait pas beaucoup. Mais il faut avouer qu'il aurat aimé revoir une jeune femme qu'il avait rencontré dans la forêt interdite, son nom était Kyara lui sembalit-il. Il voulait la revoir déjà parce qu'ils étaient parti sur de mauvaise base, il lui avait menti sur nom, ils s'étaient plus ou moins bagarrer à leur recontre enfin bon ce n'était pas une rencontre ordinaire. Mais elle avait l'air vraiment sympa et c'était le genre d'amis qu'Andrew aimait avoir et il tenait réellement à s'excuser suite à la dernière fois. A chaque fois qu'il allait en cours, il essayait de la chercher du regard dans les couloirs maisi l y avait tellement de monde qu'il était impossible de chercher quelqu'un jeune homme marchait, tout en étant dans ses pensées, lorsqu'il entendit des bruits de pas furieux derrière lui. C'était sans doute le concierge qui accusait pour la énième fois Andrew d'un acte qu'il n'aurait pas commis. Le brun continua à marcher, ignorant les bruits de pas lorsque ceux-ci se rapprochèrent de plus en plus et finirent même par le dépasser. Ce n'était pas le concierge mais une élève qui était furieuse apparemment et il ne fut pas difficile à comprendre pourquoi elle était recouverte d'une substance visqueuse verte. Bien sur, la sorcière ne voudrait surement pas qu'on vienne lui parler ou même qu'on lui vienne en aide mais Andrew se sentait obligé de le faire. D'ailleurs, cette histoire de substance visqueuse était une mode en ce moment chez les élèves de Poudlard, toutes maisons confondues. En effet, un cas semblable était arrivé avant hier chez les Poufsouffle. Suivant alors la jeune femme, il remarqua que la silhouette de la sorcière lui était famlière mais ceci était normal, il croisait des tonnes et des tonnes de sorciers et sorcières par jour. La victime de plaisantins n'avait certainement pas fait attention à Andrew mais celui-ci était determiné pour lui venir en ide sachant qu'a la première munutes où elle le verrait, elle l'enverrait chier mais il avait l'habitude, c'était presque ce qui lui était arrivé quand il avait rencontré brune sortit du château et sembalit se diriger vers le potager. C'était l'endroit parfait pour qu'Andrew puisse discuté tranquillement, afin qu'ils puissent retrouver les deux coupables, si elle le voulait bien. Ilsa marche, et partit à son tour au potager, tournant dans le petit sentier. Mais en Arrivant sur place il n'y avait plus personnes. Cependant, il vit une cabane un peu plus loin et des traves de substance était tombée au sol ce qui pouvait conduire directement Andrew à la jeune femme. Cela lui rapellait un compte moldu "Le Petit Poucet". La cabane n'était pas très haute et le pouffy devina que la brune s'était posée la haut, il grimpa alors ...-"Kyara ??!!!" S'exclama Andrew, très étonné. Comment une élève brillante, ne se laissant as faire, avait pu se faire bernner par des plaisantins ? Sachant qu'elle était vraiment furieuse, et il savait que lorsqu'elle était en colère, il fallait se mettre à l'abris mais le Pouffy n'avait pas peur de Kyara et il voulait se conduire en ami. "C'est moi, Andrew, tu te souviens ?" Demanda t-il même si ce n'était pas vraiment le se rapprocha de Kyara et s'assis à côté d'elle. Voulant la rassuré il fit un geste affectueux en esperant qu'elle le prendrait bien il lui prit la main, la serra fort. "Je suis désolé de ce qui t'es arrivée, tu veux en parler ?" Dit-il d'une voix douce et calme. Kyara BlanchetLégendeSerpentard Re Le potagerKyara Blanchet, le Lun 14 Jan - 1849 Des crétins. La génération future était composé de crétin. Sérieux ils n'auraient pas pu attendre un jour ? Comme ça son livre n'aurait pas été tacher. C'était réparable bien sur, mais quand même elle l'avait en travers. Poussant un nouveau soupir, elle garda les yeux fermer se demandant si elle allait s'endormir. Elle n'avait pas spécialement sommeil et il faisait pas super chaud, mais elle avait la faculté de pouvoir s'endormir où elle le voulait sans soucis. Enfin pour pouvoir dormir il lui faudrait quand même un sac de couchage, où une grosse couette. Quitte à choisir elle préférait ne pas finir comme un glaçon ... Au moins elle était au calme avec elle-même. Ses nerfs n'allaient pas tarder à se calmer et lorsque ça sera chose faite, elle pourra retourner au château et reprendre le cours de sa vie comme si de rien n' Kyara ??!!!Et slurk ... la tranquillité aura été de courte durée ... Ouvrant les yeux, elle se redressa et découvrit Andrew qui se tenait devant elle. C'était la deuxième fois qu'ils se voyaient, la première rencontre ne c'était pas super bien passer, surtout au début. Youpi ... quitte à choisir, Kyara aurait préféré voir Axelle où Zoey, logique en soit, la famille passait avant tout et puis ses cousines étaient toujours au top quand la brune n'allait pas C'est moi, Andrew, tu te souviens ?Oh oui qu'elle s'en souvenait, elle n'avait surtout pas oublié le rhume qu'elle avait traîné une bonne semaine après la petite escapade nocturne dans la foret. Gardant le silence, elle le regarda s'approcher et s'asseoir à ses côtés. Il fit alors un geste qui prit au dépourvu la serpentard. Il lui attrapa la main et la serra fort tout en parlant d'une voix Je suis désolé de ce qui t'es arrivée, tu veux en parler ?Haussant un sourcil, Kyara se dégagea doucement, retrouvant ainsi le contrôle de sa main et recula un peu afin d'avoir Andrew dans son champ de vision. Il croyait donc qu'elle n'allait pas bien car elle s'était faite peinturer ? C'était pas la mort, le seul truc qui avait énerver Kyara c'était que le cadeau de son père avait été touché. Elle avait déjà peu de choses lui rappelant des souvenirs, alors voir un cadeau être abîmer ça lui minait le moral. Ramenant une meche de cheveux derrière son oreille, elle répondit alors au Salut Andrew, oui je me souviens de toi t'inquiète et t'as pas à être désolé. C'est juste qu'un peu de truc gluant et vert, après une bonne douche ça ira légèrement, elle rabattue alors ses jambes sur elle et pendant quelques secondes garda le silence avant de reprendre la parole D'ailleurs, qu'est ce que tu fais ici ? T'as pas cours ? Invité Re Le potagerInvité, le Jeu 17 Jan - 1122 Lorsqu 'Andrew lui prit la main, Kyara se dégagea doucement, reprit le contrôle de sa main et recula un peu, sans doute pour bien avoir le Poufsouffle dans son champ de vision. Puis ils ne se connaissaient pas vraiment, ce geste d'affection qu'avait fait le brun était donc Kyara n'avait pas l'air trop triste ni trop en colère pour la farce dont elle avait été victime. Elle avait plus l'air en colère pour autre chose, d'ailleurs le Pouffy pu apercevoir à côté de la jeune Serpentard, un livre qui était dans un piteux état. Andrew se demandait bien ce que pouvait être ce livre mais n'osa pas y toucher car lorsque la brune ce mettait en colère, elle ne faisait pas jeune sorcière, rabattue une mèche derrière ses oreilles et répondit alors au jeune pouffy - Salut Andrew, oui je me souviens de toi t'inquiète et t'as pas à être désolé. C'est juste qu'un peu de truc gluant et vert, après une bonne douche ça ira mieux. Dit-en en souriant légèrement, sourire qu'Andrew lui le Poufsouffle n'y croyait à moitié. Non pas qu'il n'avait pas confiance en Kyara, là n'était pas la question. Même s'il la connaissait depuis peu de temps, il savait que la brune n'était pas du genre à mentir comme lui l'avait fait au moment de leur première rencontre. Ce qui l'intriguait c'est que lorsqu'elle était passée devant lui dans les couloirs, la Serpentard paraissait furieuse et d'après ses dires, ce truc gluant et vert n'était pas très grave. Non, le sorcier était certain qu'elle était triste par rapport à ce livre qui avait été tout abîmé. C'était certainement un cadeau ou quelque chose qui lui tenait vraiment à assit non loin de Kyara, il se rapprocha un peu plus d'elle mais pas trop afin qu'elle ne soit pas gênée, et s'apprêta à parler lorsqu'elle ajouta - D'ailleurs, qu'est ce que tu fais ici ? T'as pas cours ? Lui demanda t-elle, toute jeune Poufsouffle lui lança à nouveau un sourire, plia les jambes et posa les coudes sur ses genoux, prit un grand souffle et dévoila -"A vrai dire, je me baladais dans les couloirs du château car je n'avais pas faim et je m'ennuyais, ça fait quelques temps que je m'ennuie je ne sais pas ce qu'il m'arrive c'est comme si j'étais blasé enfin bon, je te passe les détails." Dit-il avant de reprendre "Et tout à coup, je t'ai vu passer devant moi, furieuse, mais je ne savais pas que c'était toi, je pensais que c'était une autre élève et je t'ai alors suivi car je voulais te venir en aide, comprend moi, je pensais que tu était réellement furieuse contre deux farceurs et quand je suis arrivé ici, j'ai eu la grande stupéfaction de te voir. Ce qui ne m'a pas vraiment déplu car depuis notre aventure dans la forêt, je cherchais absolument à te revoir, j'avais envie de mieux te connaître." Termina il pointa son index sur le livre de Kyara en haussant les sourcils. Toutefois, avant de lui laisser la paroles, il enchaîna -"Mais à mon avis, tu n'était pas furieuse contre ce qu'on t'avait fait mais plutôt contre ce qu'ils lui ont fait" toujours en montrant le livre du doigt"Tu sais, je ne suis pas dupe et je sais qu'il doit énormément compter pour toi, qu'est-ce que sait ?" Demanda t-il d'une voix posée, plongeant dans ses pensées, Andrew pensait connaître la raison de son décrochage sur ce château qu'il aimait temps. En effet, si le Pouffy se sentait mal en ce moment, qu'il était blasé, qu'il s'ennuyait à Poudlard c'est parce qu'il n'arrivait toujurs pas digéré la mort de ses parents. En effet, cette histoire pour lui c'était du passé, cette histoire était enterrée, le Pouffy était passé à autre chose. Il était persuadé qu'ils étaient morts etjusqu'au jour où durant les vacances, Andrew cru apercevoir son père à Pré-Au-Lard et si ce n'était pas lui, alors c'était un homme qui lui ressemblait étrangement. Cela avait donc fait déterrer cette histoire et depuis quelques temps, il avait tout un tas de flash black. Andrew remettait désormais la disparition de ses parents en questions Sont-ils réellement mort ? Malheureusement il ne pourra jamais répondre à cette question même s'il espérait secrètement que la réponse soit non. Kyara BlanchetLégendeSerpentard Re Le potagerKyara Blanchet, le Jeu 17 Jan - 1513 Andrew se rapprocha de Kyara encore un peu malgré le fait qu'elle se soit déplacé. Prenant sur elle, elle n'eut aucune réaction et observa le ciel attendant la réponse du jeune homme. La Française aimait beaucoup tout ce qui touché à l'astronomie, le ciel, les étoiles, les planètes et tout et tout. Malheureusement il n'y avait pas de cours portant sur le sujet dispenser à Poudlard, sinon elle se serait inscrite directement. Détachant à contre coeur son regard, elle se re-concentra sur A vrai dire, je me baladais dans les couloirs du château car je n'avais pas faim et je m'ennuyais, ça fait quelques temps que je m'ennuie je ne sais pas ce qu'il m'arrive c'est comme si j'étais blasé enfin bon, je te passe les détails. Et tout à coup, je t'ai vu passer devant moi, furieuse, mais je ne savais pas que c'était toi, je pensais que c'était une autre élève et je t'ai alors suivi car je voulais te venir en aide, comprend moi, je pensais que tu était réellement furieuse contre deux farceurs et quand je suis arrivé ici, j'ai eu la grande stupéfaction de te voir. Ce qui ne m'a pas vraiment déplu car depuis notre aventure dans la forêt, je cherchais absolument à te revoir, j'avais envie de mieux te beh, ça s'était de l'explication de fou. Apparemment Andrew aimait aider les gens et il avait envie eu de faire sa bonne action de la journée. Kyara aurait été bien seule, mais bon vu qu'il était là autant faire avec. D'ailleurs une question taraudait la brune, pourquoi est-ce qu'Andrew voulait apprendre à mieux la connaitre ? Comme elle s'était fait la remarque un peu plus tôt, leur première rencontre ne s'était pas super bien passée. Elle s'attendait même à ne plus le revoir, comme quoi il ne fallait pas vendre la peau de l'hippogriffe sans l'avoir Mais à mon avis, tu n'était pas furieuse contre ce qu'on t'avait fait mais plutôt contre ce qu'ils lui ont fait. Tu sais, je ne suis pas dupe et je sais qu'il doit énormément compter pour toi, qu'est-ce que c'est ?Tout en parlant il avait pointé du doigt le livre de la jeune femme. Cela lui tira un petit sourire, malgré le fait qu'il soit à Poufsouffle et que cette maison ne soit pas super bien vu chez les serpentard bon comme toutes les autres maisons, Andrew avait oublié d'être bête. Bon en même temps le livre se trouvait juste à coter d'elle, mais tout le monde n'aurait pas fait le rapprochement. Aussi Kyara décida d'être franche avec le jeune Tu as vu juste, je suis en colère car ce livre a été sali. C'est mon père qui me l'a offert quand j'étais enfant et j'y tiens beaucoup ... En temps normal j'aurais bien pris la blague, mais là ça n'est pas passer. Je n'aime pas que les cadeaux qu'on m'offre soit dégradé où autre ... Enfin ce qui est fait est fait, je le nettoierais et il sera de nouveau comme un sous neuf ! Tu es né dans les environs toi ?Dernière édition par Kyara Blanchet le Sam 19 Jan - 1610, édité 1 fois Invité Re Le potagerInvité, le Sam 19 Jan - 1425 Kyara décida d'être franche avec le jeune homme et lui avoua donc qu'elle était en colère parce que ce livre avait été sali, c'était son frère qui le lui avait offert lorsqu'elle était enfant. Elle y tenait énormément. Elle dit également qu'en général, elle aurait bien prit la blague mais là c'était la goutte d'eau qui faisait déborder le vase. Tout comme Andrew, elle n'aime pas lorsque les cadeaux qu'on lui offre soit abîmé. Mais comme elle avait dit, ce qui était fait était fait. Puis sans s'y attendre, Kyara passa du coq à l'âne, c'est-à-dire qu'elle changea totalement de conversation en lui demandant s'il était né dans les qui depuis le début regardais Kyara dans les yeux lorsqu'elle parlait, redressa sa tête et regarda l'horizon. Cette simple question avait évoqué en lui toutes sortes de souvenirs rare qu'ils partageaient avec sa famille. Notamment le jour où lui et ses parents apprirent que ses deux frères jumeaux, Mark et John, étaient des cracmols où encore la fois ou ils avaient tous campés dans un forêt française, le Pouffy était jeune, très jeune à cette époque. Mais le souvenir le plus marquant était celui où il fut contraint de fuir de chez lui car un groupe de cinq sorciers pénétrèrent dans leurs maisons. Lui et ses deux frères quittèrent le coquons familiales à la demande des parents. Mais entre-temps, Mark et John disparurent également et le jeune sorcier du alors apprendre à vivre seul. Mais six mois après leurs disparitions il put se faire héberger et le jour de ses 11 ans, il pu enfin rentrer à Poudlard. C'était une triste période de sa faisait maintenant un long moment qu'il n'avait pas prit le temps de penser à eux même si durant les vacances il vit un homme ressemblant à son père. La question de la jeune Serpentard avait donc chamboulé le jeune homme, cela l'avait émue, cela l'avait rendu plus ou moins triste mais Kyara n'en était pas responsable, elle ne pouvait pas le savoir. le brun avait les larmes aux yeux en repensant à sa famille. Une de ces jours, il fallait qu'il retourne dans le village où il vivait étant enfant, mais le garçon ne connaissait pas le village en question, ça remontait à trop suis né en Angleterre dans un village ... dont je ne connais pas le nom. J'ai ... j'ai perdu ma famille et j'ai du m'enfuir à l'âge de 9 ans ... Je ... Ils me manquent tellement !" Dit-il, laissant d'autres larmes couler sur ses avait honte de faire la mauviette devant elle, qu'est-ce qu'elle allait en penser ? Que c'était une chochotte, qu'il ne savait pas se tenir. Et puis son histoire n'intéresserait peut-être pas Kyara alors pourquoi ne pas avoir tout simplement dis "Je suis né en Angleterre", non il fallait qu'il en Poufsouffle se ressaisit , essuya de nouveau ses larmes et évita de penser à ce tragique moment de sa moi, je ... je suis désolé" Dit-il en souriant légèrement. "& toi, tu es née où ?" Demanda t-il ensuite à la jolie brune. Kyara BlanchetLégendeSerpentard Re Le potagerKyara Blanchet, le Mar 22 Jan - 1904 Kyara aimait bien passer du coq à l'âne quand elle parlait. En fait elle exprimait souvent la suite de ce qu'elle pensait d'un coup, où bien sans prévenir elle revenait sur un sujet évoqué quelques heures plus tôt comme s'il n'y avait jamais eu de coupure. Les gens avaient parfois du mal à la suivre et elle ne comprenait pas toujours pourquoi. Pour Kyara c'était tout à fait normal de faire ainsi, bien qu'elle tente de faire en sorte que cela arrive le moins souvent Je suis né en Angleterre dans un village ... dont je ne connais pas le nom. J'ai ... j'ai perdu ma famille et j'ai du m'enfuir à l'âge de 9 ans ... Je ... Ils me manquent tellement ! Dit-il tout en oh oh temps mort !! Il faisait quoi là ?! Surprise, Kyara se recula un peu. Elle n'était pas habituée à voir un garçon pleurer. Normalement c'était les filles qui pleuraient pas l'inverse ! Dans le cas de la brune, elle pleurait que quand c'était vraiment poignant pour elle. Il lui arrivait souvent d'être triste, mais il lui en fallait pas mal pour pleurer. Par exemple voir la personne qui la formée et avec qui elle a passé de bons moments mourir devant elle sans rien pouvoir faire ... Là Kyara avait pleuré. N'étant pas très douée pour réconforter les gens, elle attendit en silence que le jeune homme se calme. Cela faisait du bien de pleurer et certains n'avaient surtout pas besoin qu'on les Excuse moi, je ... je suis désolé Et toi, tu es née où ?En entendant ses paroles, la brune leva les yeux au ciel. Il n'avait pas à s'excuser, même si elle avait été surprise, on pouvait tous craquer à un moment où à l'autre. Pas besoin de s'excuser donc aux yeux de Kyara. Se grattant la tête, elle haussa alors les épaules avant de Tu n'as pas à t'excuser, tu peux pleurer si tu en as envie, je ne vais pas te juger pour ça. Sinon pour ma part je suis née en France. J'ai eu la chance d'apprendre tôt l'anglais ce qui fait que quand je suis venue ici j'ai su me dépatouiller. Sinon ça va les cours ? T'es en quelle année déjà ? Invité Re Le potagerInvité, le Dim 3 Fév - 1655 Kyara leva les yeux au ciel, peut-être que le Poufsouffle l'éxaspérait. Le jeune sorcier se sentit alors gêné, il était vraiment maladroit, il fallait tous jours qu'il fasse un truc au moment où il ne fallait pas et le pire c'est qu'il ne le faisait pas exprès. Andrew avait beaucoup de qualité mais en ce qui concernait la maladresse, il était le Pouffy s'essuya les yeux, encore humide, attendant ce que la belle brune allait bien pouvoir dire. Celle-ci haussa les épaules puis lui dit qu'il n'avait aucunement besoin de s'excuser et qu'elle n'allait pas le juger parce qu'il pleurait, après tout c'était humain, tout le monde pouvait craquer à un moment donné et en l’occurrence, il s'agissait de la disparition de sa famille, ce n'était pas ajouta ensuite qu'elle était né en France et ayant eu la chance d'apprendre l'anglais relativement tôt, en arrivant ici elle à su se débrouiller. Puis passant de nouveau du coq à l'âne, elle changea de sujet et lui demanda si les cours sa allait et demanda également en quelle année était t-il car la Serpentard ne s'en souvenait devait maintenant faire une bonne heure que les deux élèves étaient là mais Andrew ne s'ennuyait pas, cela lui fit plaisir d'apprendre à connaître Kyara suita à leur première rencontre qui s'était mal déroulée. Il pourrait rester encore ici longtemps, cependant le temps commençait à se rafraîchir et le ciel devenait gris, néanmoins Andrew resterait tout de même s'était habitué à voir Kya pleine de substance ... bizarre et collante mais de temps en temps il voulut pouffer de rire, il essayait de se retenir quand même, elle devait en avoir assez comme sa passa la main dans ses cheveux et répondit -"Tu es née en France ?! Tu a beaucoup de chance, j'y suis allé une fois et j'ai beaucoup aimé ..." Dit-il avec sourire. "J'aime beaucoup la France" Ajouta t-il en français, avec un accent anglais. "Moi je sais parler un peu français, mais ça s'arrête là."Le Pouffy se râcla la gorge puis reprit " Je suis en sixième année, tout comme toi non ?Les cours ça peut aller, je suis juste un peu perdu en potion, par contre en DFCFM je gère la fougère ! Et toi, ça va ?"Andrew regarda ensuite le ciel qui s'assombrissait au fur et à mesure qu'ils parlaient, mais ceci était due à cause de la tempête qui arrivait car la montre d'Andrew n'indiquait que d'ailleurs en observant sa montre et précisément la date qu'elle affiche juste au dessus du cadran qu'Andrew remarqua que ce jour était important à ses yeux, très important puisque c'était le jour de son anniversaire ! Comment avait t-il pu oublier ?! Aujourd'hui Andrew était majeur. Vu que le Pouffy était né en début d'année, normal qu'il est 17 ans tout en étant en sixième Pouffy n'en revenait pas ! Et cette année encore, sa famille n'était pas là pour fêter ça, il se retrouvait de nouveau seul et ça depuis maintenant depuis 7 ans reviens pas, c'est mon anniversaire !" S'exclama t-il à haute voix. Kyara BlanchetLégendeSerpentard Re Le potagerKyara Blanchet, le Mar 5 Fév - 2055 Kyara avait de la chance, la substance dont elle était imprégnée ne dégageait aucune odeur, sinon elle aurait surement empestée comme pas possible. Comme quoi cette journée n'était pas complètement nulle. Youhouu. Fixant son bras, elle constata que ça commençait à sécher. Super au moins elle n'aurait pas à frotter comme une malade, avec un peu de chance ça s'effriterait tout seul et douche normal suffirait. La brune l'espérait fortement. De toutes les manières, elle verrait bien plus Tu es née en France ?! Tu a beaucoup de chance, j'y suis allé une fois et j'ai beaucoup aimé ... J'aime beaucoup la France. Moi je sais parler un peu français, mais ça s'arrête brune lâcha un sourire quand Andrew accentua son accent sur les derniers mots. En tous les cas, elle était bien contente d'avoir appris tôt l'anglais. On entendant encore son accent Français, mais le fait de vivre entourée de personnes ne parlant pas la même langue l'avait fait sacrement progresser. Ses cours d'Anglais lui avaient juste donner quelques tuyaux, elle avait du après se faire sur le tas, d'où le fait que sa première année elle avait plus écouté que parler. Au final ce trait caractériel lui était Je suis en sixième année, tout comme toi non ? Les cours ça peut aller, je suis juste un peu perdu en potion, par contre en DFCFM je gère la fougère ! Et toi, ça va ?Kyara aimait bien de la potion, c'était une de ses matières préférées avec les défenses contre les forces du mal. Les deux matières où elle se débrouillait le mieux en gros. En plus au niveau des professeurs elle ne pouvait pas rêver mieux donc c'était tout benef pour elle ! Par contre Andrew la rajeunissait, la Serpentard n'était pas en sixième, mais en septième année. C'était sa dernière année à Poudlard. Ca sonnait bizarre quand Kyara se le disait. Elle ne se voyait pas partir de l'école se retrouvant toute seule et perdant ses cousines. Non pas que la solitude la dérangeait, mais en sept ans elle avait eu le temps de prendre ses marques, d'avoir ses petites habitudes dans le château. A la fin de l'année elle devrait pourtant partir et elle n'en avait pas du tout l'envie ... Peut-être qu'elle ferait exprès de rater ses examens juste pour repiquer une année tient ! C'était à voir ...- J'en reviens pas, c'est mon anniversaire !Son anniversaire ? C'était son anniversaire et il ne s'en rendait compte que maintenant ?! Cela ne devait pas être un évènement très important pour lui alors ... Pendant quelques secondes Kyara hésita sur la suite des choses. Devait-elle lui souhaiter son anniversaire où pas ? Du fait qu'elle était polie elle décida que lui, comme ça au moins une personne lui aura souhaiter son anniversaire en cette journée !- C'est bien de t'en apercevoir maintenant et bien joyeux anniversaire à toi ! Ca te fait quel âge alors ? Tu t'es trompé je suis en dernière année pour ma part et les cours ça va. Je n'ai pas le temps de suivre tous ceux proposer dans le château, mais j'en ai quand même pas mal sur mon emploi du temps. Tu verras l'an prochain ça se corsera encore un peu plus ! En parlant de ça je pense que je ne vais pas traîner encore bien longtemps ... Faudrait que je me douche et que je me mette au boulot ... Invité Re Le potagerInvité, le Mar 12 Fév - 1200 - C'est bien de t'en apercevoir maintenant et bien joyeux anniversaire à toi ! Ca te fait quel âge alors ? Tu t'es trompé je suis en dernière année pour ma part et les cours ça va. Je n'ai pas le temps de suivre tous ceux proposer dans le château, mais j'en ai quand même pas mal sur mon emploi du temps. Tu verras l'an prochain ça se corsera encore un peu plus ! En parlant de ça je pense que je ne vais pas traîner encore bien longtemps ... Faudrait que je me douche et que je me mette au boulot ...S'exclama alors la jeune Serpentard. En effet, son anniversaire n'était pas vraiment important à ses yeux, car c'est le jour de ses 9 ans que ses parents ont disparus et cela créait parfois quelques malaises en y repensant. Et puis, durant toutes ces années Andrew à toujours préféré être un solitaire et n'a donc jamais eu vraiment d'amis jusqu'a son début de sixième année qui touchait à sa fin. Mais jamais personnes ne le lui avait souhaité. Et oui, le Poufsouffle allait entrer en septième année ! Cela lui faisait bizarre d'y penser car même s'il n'avait pas eu autant d'amis que maintenant, il parlait tout de même à des élèves même s'il n'était pas très proches des autres, néanmoins il avait vécu une longue période de sa vie ici et tout quitter comme ça, cela était étrange. Tout comme Kyara, le jeune sorcier ne pouvait pas suivre tous les cours du château, il y en avait beaucoup trop mais il en suivait un certain nombre. Et d'après les dires de la jeune femme, lorsqu'il entrera en dernière année ça se corsera encore un peu plus ! Cela ne lui fit même pas peur d'ailleurs puisque sa devise était d'aller tout jours plus loin, d'aller au délà de ces capacités, de ces forces et les nouvelles choses, les nouvelles sensations et les nouvelles aventures le motivait au aussi n'allait pas tarder à partir même s'il y a quelques secondes il pensait le contraire. Le Poufsouffle frotta son jean, se leva et tendit sa main à Kyara afin de l'aider à se te remercie pour mon anniversaire, très peu de gens me l'ont souhaités depuis mon arrivée à Poudlard. D'ailleurs si j'ai .. j'ai oublié que c'était mon anniversaire c'est parce que ce jour-là mes parents ont disparus, le jour de mes 9 ans et j'évite d'y penser et j'oublie donc. Mais aujourd'hui je suis majeur et c'est un jour important, je devrais aller fêter ça mais ... je ne sais pas avec qui." Dit-il avec une amertume de tristesse. "Les cours et tout ça en septième année ça se corsera tu m'a dis mais je n'en ai pas peur, ça sera comme une nouvelle aventure pour moi et j'essayerais de me prouver que je peux aller encore plus loin !" Ajouta le jeune ado avec grand sourire. "Moi aussi je vais rentrer, faisons le chemin ensemble !" Finit-il par deux élèves continuèrent donc à bavarder jusqu'à arriver au château et ils se dirent au revoir et prirent chacun une direction différentes.[FIN DU RP] Re Le potagerContenu sponsorisé, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum Ledocument : "Francis Ponge, « L'huître », Le Parti pris des choses" compte 1698 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous l’un de vos travaux scolaires grâce à notre système gratuit

Bonjour, Je vous envoie les pistes de correction pour le devoir sur le recueil de Francis Ponge, Le Parti pris des choses. J'ai reçu le travail de presque tous les élèves une élève dans chaque classe n'a pas fait le devoir. Je vous félicite donc globalement pour votre sérieux ! PS. Je n'ai pas reçu la liste des oeuvres choisies pour les élèves de 605. Le Parti pris des choses, Francis PONGE 1942 Des influences multiples - Lié à la Nouvelle Revue Française, créée par André Gide en 1909 et généralement considérée comme le bastion de la littérature classique - Il adhère provisoirement au surréalisme en 1930 - il publie pendant la Seconde Guerre mondiale aux côtés des poètes résistants - il entretient un dialogue avec la philosophie de l’absurde d’ Albert Camus, l’existentialisme de Jean-Paul Sartre - il fréquente certains écrivains du Nouveau Roman - il collabore dans les années 60 avec Tel Quel, célèbre groupe de réflexion sur la littérature mais méfiance instinctive / idéologies, systèmes, dégoût des idées » et choix d’un travail humble et rigoureux au plus près des choses et des mots. Les intentions du poète, la démarche poétique de Ponge refuser la poésie traditionnelle et le lyrisme rejet du lyrisme patheux » Ponge érigé en modèle exclusif par le romantisme ou le symbolisme, de l’introspection. Donner la parole aux choses muettes Il s’agit pour moi de faire parler les choses » Ponge, 1828 et revaloriser les réalités les plus insignifiantes se démarquer de la recherche classique du Beau, de l’harmonie Couper les ailes à la grandeur, à la beauté ». Donner leur place en littérature aux réalités quotidiennes, au banal. Se faire le porte-parole de ce monde muet sur lequel l’homme n’a cessé d’étendre sa domination. Nouvelle manière d’être au monde, se laisser envahir par les choses NB. Modèle antique du De natura rerum De la nature marqué par le matérialisme épicurien et l’élaboration d’une cosmogonie, cad un système capable d’expliquer la naissance de l’univers dans l’intervention des dieux. Concevoir la poésie comme un travail d’artisan en prise directe avec la matière Cf PARTI PRIS DES CHOSES égale COMPTE TENU DES MOTS. = s’intéresser aux relations entre les mots et les choses, explorer les richesses graphiques et phoniques des mots signifiant, travailler sur l’étymologie, les connotations, le champ sémantique du mot signifié. Manier, modeler l’objet dans le texte, dans la glaise des mots. NB objeu » mot-valise créé à partir des termes objet » et jeu ». - l’activité poétique est conçue comme une activité ludique, un jeu avec la forme et le sens des mots Cf les jeux de mots le savon qui aime se faire mousser, les calembours les chèvres belles et butées ou belzébuthées, les paronomases l’emphase des amphores dans La Cruche », les mots-valises l’horizondelle - il s’agit de faire jouer pleinement les mécanismes de langage pour créer un objet de langage, un texte-objet cad faire en sorte que le texte devienne l’équivalent poétique de la chose ». Porter un regard nouveau sur les choses et retrouver devant elles nos facultés d’émerveillement. On peut donc concevoir ces poèmes comme des fables dont nous devons tirer une morale. Changer notre regard sur le monde, en faire redécouvrir la beauté, prendre conscience du plaisir, de la jouissance à éprouver le monde permet aussi de se retrouver aussi soi-même co-naître au monde cad naître ou renaître avec lui, en acceptant de devenir autre à son contact Des poèmes en prose - une unité structurelle par le soin apporté àla paragraphie, les reprises lexicales, les figures de répétition et de construction, le poème en prose renforce dans sa densité une rigueur qui rappelle la structure strophique du poème en vers.  une concentration des effets poétiques dans la prose les figures de rhétorique, le rythme, la matière sonore des mots.  une thématique privilégiée depuis Baudelaire, le poème en prose s'attache aux thèmes de la modernitéla ville et se prête particulièrement àl'expression de l'imaginaire.  une clôture le poème en prose trouve sa cohérence dans les lois internes qui le régissent. cf Le Spleen de Parisou Petits poèmes en prose » écrits par Baudelaire L’unité du recueil 32 textes reliés par des titres similaires article défini = nom modèle de l’herbier des phénomènes d’écho associations croisées ex le feu / le papillon ; le galet / l’huître de grands thèmes les objets la cageot, la bougie, la cigarette, le volet, la fenêtre, l’édredon, la barque, la cruche, la radio, la lessiveuse, le savon, la table les animaux l’huître, le mollusque, le papillon, la crevette, la grenouille, le lézard, la guêpe, l’araignée, la chèvre, le cheval, l’âne. Les végétaux les mûres, l’orange, la mousse, l’œillet, le mimosa, les ombelles, la pomme de terre, le magnolia, le gui, le platane, la figue. Les minéraux et les éléments naturels l’anthracite, le galet, la boue, la terre, la pluie, l’eau, le feu, le soleil. Les aliments le pain, le vin, le verre d’eau, le morceau de viande, le plat de poissons frits. Les lieux du quotidien les bords de mer, le restaurant Lemeunier de la Chaussée d’Antin, la maison paysanne, le grenier, l’atelier. Certains types d’hommes ou certaines réalités humaines le gymnaste, la jeune mère, l’adolescente, la danseuse, l’eau des larmes, la main Les arguments pouvant justifier le choix de cette œuvre tout ce qui suit constitue des pistes de travail à développer l’originalité de la démarche de Ponge, le refus du lyrisme comme du réalisme, l’attention portée aux choses simples, prosaïques la rigueur de l’analyse, l’apparence de scientificité de la description, la posture du naturaliste ET la volonté de changer notre regard sur le monde, de transmettre un message moral aux hommes vaniteux et serviles cf Escargots, De l’eau l’attention extrême portée à la matérialité des choses et du langage un regard sur la société cf Seine n° ; Le Gymnaste ; Le restaurant Lemeunier rue de la Chaussée d’Antin un recueil qui s’inscrit dans une tradition remontant aux cosmogonies poétiques de l’Antiquité œuvre portant sur l’origine de l’univers. Cf Lucrèce Bref, il s’agit moins d’observer le galet que de s’installer en son cœur et de voir le monde avec ses yeux, comme fait le romancier qui, pour peindre ses héros, se coule dans la conscience de ceux-ci et décrit choses et gens tels qu’ils lui apparaissent. Cette position permet de comprendre pourquoi Ponge appelle son œuvre une cosmogonie plutôt qu’une cosmologie. C’est qu’il ne s’agit pas de décrire ». Jean-Paul Sartre, L’homme et les choses », Situations I1944 l’humour de certains poèmes le travail sur le langage jeux sur les mots ou les sonorités, l’étymologie, le graphisme… la célébration du monde et de sa beauté Le lien avec Baudelaire On retrouve chez les deux poètes la volonté de réhabiliter ce qui est méprisé, rejeté. Cf Ode inachevée à la boue », Ponge La boue plaît aux cœurs nobles parce que constamment méprisée. Notre esprit la honnit, nos pieds et nos roues l'écrasent. Elle rend la marche difficile et elle salit voilà ce qu'on ne lui pardonne pas. C'est de la boue! dit-on des gens qu'on abomine, ou d'injures basses et intéressées. Sans souci de la honte qu'on lui inflige, du tort à jamais qu'on lui fait. Cette constante humiliation, qui la mériterait ? Cette atroce persévérance ! Boue si méprisée, je t'aime. Je t'aime à raison du mépris où l'on te tient. De mon écrit, boue au sens propre, jaillis à la face de tes détracteurs ! Tu es si belle, après l'orage qui te fonde, avec tes ailes bleues ! Quand, plus que les lointains, le prochain devient sombre et qu'après un long temps de songerie funèbre, la pluie battant soudain jusqu'à meurtrir le sol fonde bientôt la boue, un regard pur l'adore c'est celui de l'azur agenouillé déjà sur ce corps limoneux trop roué de charrettes hostiles, – dans les longs intervalles desquelles, pourtant, d'une sarcelle à son gué opiniâtre la constance et la liberté guident nos pas Ainsi devient un lieu sauvage le carrefour le plus amène, la sente la mieux poudrée. La plus fine fleur du sol fait la boue la meilleure, celle qui se défend le mieux des atteintes du pied ; comme aussi de toute intention plasticienne. La plus alerte enfin à gicler au visage de ses contempteurs. Elle interdit elle-même l'approche de son centre, oblige à de longs détours, voire à des échasses. Ce n'est peut-être pas qu'elle soit inhospitalière ou jalouse; car, privée d'affection, si vous lui faites la moindre avance, elle s'attache à vous. On retrouve chez les deux poètes le processus alchimique d’une poésie qui fait subir une métamorphose au monde, le transforme. Rapprocher par exemple la carcasse d’ Une Charogne » et le poème Le Morceau de chair » Mais, Baudelaire s’intéresse plus à la laideur, au mal quand Ponge privilégie le banal, le quotidien. La vision de Baudelaire est plus sombre, pessimiste. Ponge est certainement le seul qui ait eu l’ambition de défendre à la fois la pensée des Lumières et celle qui a surgi de la modernité la plus aiguë. On ne l’écoute aps ? On le cantonne dans les marges de la société ? Peu importe. Avec une sobriété et une énergie d’alchimiste, il est à son fourneau, jour et nuit » Philippe Sollers, Ponge en abîme », Eloge de l’infini2001 Ceux qui choisiront ce recueil auraient tout intérêt à lire le Profil bacconsacré au Parti pris des choses, Eric Doucet Collection Profil de l’œuvre, Hatier lire le dossier établi par Emilie Frémond pour l’édition Folio plus classiques je pourrai la prêter. Regarder ce court entretien avec Ponge 3 mn 18 Ecouter cette émission de France culture consacrée à Ponge 6 mn Regarder ce documentaire de l’INA consacré à Ponge en 1965 1 h ou lire d’autres recueils de Ponge comme Pièces1962 et La Rage de l’expression1952 s’intéresser au travail d’un autre poète contemporain de Ponge Eugène Guillevic.

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Marketplace Analyse Français Document électronique Lycée 3 pages Description Analyse de "l'huître" du recueil Le Parti Pris Des Choses de Francis Ponge. Musicalité, message de l'auteur, la prose forme poétique et difficile, figures de styles, comparaison entre l'huître et la prose… Extrait L’huître », le Parti-pris des choses de Francis PongeLe Parti-pris des choses est un recueil écrit en 1942 par Francis Ponge et publié en 1942. Il est composéde poèmes en proses où l’on décrit des objets du quotidien. Le but est de changer le regard du lecteursur eux, de transformer la laideur du banal en une beauté cachée avec un aspect digne d’ le poème, il y a une description très organisé de l’huître. Dans le premier paragraphe, on décritl’extérieur de l’huître. Dans le second... Ce document ne correspond pas exactement à ce que vous recherchez ? Commandez votre document redigé sur mesure depuis notre service Commander un document Commander un document ou bien via la recherche par mots-clés Ces documents pourraient vous intéresser
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Fichede 2 pages en littérature publié le 29 mai 2009: Francis Ponge, Le parti pris des choses, L'Huître : commentaire. Ce document a été mis à jour le 29/05/2009 Ce document a été mis à jour le 29/05/2009

Pourquoi l’huître est un poème ? – Rareté + pureté + esthétique = caractéristiques de la parole poétique. – La perle serait donc en fait un poème le texte est donc une sorte d’allégorie sur la création poétique, l’huître qui produit la perle serait alors le monde poétique. Comment sont présentés le pain et l’huître des poèmes de Francis Ponge ? Bien au contraire, Le Parti pris des choses se concentre sur la matérialité du quotidien le recueil se présente comme une suite de poèmes descriptifs, chacun étant centré sur un objet familier le pain, la cigarette, la bougie, le cageot, ou sur un élément minéral la pluie, végétal ou animal l’huitre, l’escargot … Qui flue et reflue à l’odeur et à la vue ? A l’intérieur l’on trouve tout un monde, à boire et à manger sous un firmament à proprement parler de nacre, les cieux d’en dessus s’affaissent sur les cieux d’en dessous, pour ne plus former qu’une mare, un sachet visqueux et verdâtre, qui flue et reflue à l’odeur et à la vue, frangé d’une dentelle noirâtre sur … Pourquoi Ponge renouvelle la poésie ? Comment Ponge renouvelle-t-il le genre poétique en exprimant les choses » à partir de la matière verbale » ? Le terme choses renvoie aux objets banals, qui n’ont pas leur place en poésie, car ils sont trop quotidiens alors que la poésie veut se dégager du quotidien. Comment faire une bonne lecture linéaire ? Lecture linéaire la méthode en 6 étapes 1 – Fais une introduction et propose une problématique. … 2 – Lis le texte avec entrain. … 3 – Suis un plan. … 4 – Mêle constamment le fond et la forme. … 5 – Fais une courte conclusion. … 6 – Sois efficace durant tes 30 minutes de préparation. … 7 – Exemples de lectures linéaires. Quelles sont les caractéristiques majeures des poèmes du parti pris des choses ? Dans Le Parti pris des choses, le poète choisit ainsi des sujets étonnants, comme l’huître, le cageot, le savon ou le pain. Il observe les objets de façon naïve et tout à coup décèle la beauté. Le poète transforme ainsi les objets. Ponge utilise parfois un vocabulaire technique. Pourquoi le pain est un poème ? Le pain est un objet quotidien, banal. … L’adjectif merveilleuse » dès la ligne 1 la surface du pain est merveilleuse et les deux adverbes si nettement articulés » laissent transparaître l’admiration, la fascination du poète. Le pain, objet familier et banal, provoque ici une émotion esthétique. Pourquoi le parti pris des choses est de la poésie ? Dans My Creative method, il pose l’équation suivante PARTI PRIS DES CHOSES égale COMPTE TENU DES MOTS » ; c’est dire que sa poésie recouvre une double visée celle d’appréhender les objets dans leur matérialité, et de revendiquer leur dignité poétique, et celle d’étudier les mots, leur sens, leur sonorité, de … Comment se manifeste la poésie dans le parti pris des choses ? Une poésie comique Le poète joue parfois avec les paronomases et les onomatopées comme le glou-glou des gouttières ». A travers ces jeux de mots, Ponge renoue par les sonorités le langage et le monde. Ponge use aussi de néologismes plaisants pour marier langage et réalité, comme amphibiguïté » . Comment faire une analyse linéaire à l’oral ? L’analyse linéaire doit durer environ 8 minutes, sans compter le temps de lecture du texte introduction, analyse et conclusion. L’analyse linéaire du texte suit la progression du texte, il faut commenter vers par vers, phrase par phrase, paragraphe par paragraphe. Se rappeler de – Commenter le style ET le sens. Pourquoi faire de l’huître un sujet de poésie? Francis Ponge ne cherche donc pas à évoquer la beauté de l’huître il cherche à en évoquer la réalité. Il ne veut pas transformer l’huître en quelque chose de beau c’est le fait même qu’elle soit un objet prosaïque, ancré dans la réalité, qui intéresse Ponge. Faire de l’huître un sujet de poésie est d’autant plus étonnant que l’huître se mange. Quel est le passage de l’huître à la douceur? Passage de la rugosité à la douceur, allitération en »r » L’huître, de la grosseur d’un galet moyen, est d’une apparence plus rugueuse, d’une couleur moins unie » à un vocable élogieux »nacre » »perle » »halo » » cieux » Plus la progression du poème se fait plus l’huître s’ouvre et dévoile sa beauté Pourquoi il y a une perle au centre de l’huître? Parfois très rare une formule perle à leur gosier de nacre, d’où l’on trouve aussitôt à s’orner ». Au centre de l’huître, il y a une perle. En cherchant bien, en se donnant de la peine, un espace plus beau est accessible. Quel est l’intérieur d’une huître? L’intérieur d’une huître est un monde riche comme le suggère le vocabulaire des sens goût »à boire et à manger » odorat »odeur » toucher »visqueux », Pour ceux qui arrivent à ouvrir l’huître, c’est-à-dire à comprendre la poésie, un monde entier s’ouvre à eux 3. Le travail du poète

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